1. Naïade


    Datte: 11/01/2025, Catégories: fh, fplusag, vacances, plage, piscine, amour, Oral pénétratio, fsodo, confession, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... moi qu’il baisait « pour me récompenser de mes efforts, ou pour me détendre avant une compète ». En quelques semaines, j’étais devenue sa chose, une sorte d’esclave sexuelle. Il m’a fait faire des longueurs de brasse avec un plug dans le cul, « pour mieux délier mes mouvements de jambes », et puis ensuite pour me sodomiser comme un malade. Le pire, c’est que j’aimais ça, j’étais contente de le rendre heureux, prête à tout pour lui. Avant lui, j’avais eu quelques flirts, mais rien de sérieux. C’est lui qui m’a déflorée, d’ailleurs de toute part. Il se servait de moi quand il en avait envie, et quand il y avait du monde, c’était dans les chiottes, dans une douche, les vestiaires, son bureau, sa voiture… J’en ai gardé une aversion pour les endroits sordides.
    — Je comprends…
    — Et puis un jour, je n’avais pas cours, prof absent. J’ai décidé d’en profiter pour aller m’entraîner et surtout le rejoindre. Il m’avait même donné une clé de la piscine, plus pratique pour se voir. Mais au moment d’entrer dans son bureau, je perçois des mots que j’avais déjà entendus : « oui, vas-y, suce bien, et masse les couilles en dessous, là, c’est bien, tu vas bientôt l’avoir ton dopage, tu vas péter les chronos avec ça… ». J’ouvre et je trouve ma rivale, une certaine Karine, blondasse qui était presque aussi bonne que moi et que je ne pouvais pas supporter. Elle était à poil et à genoux en train de le pomper. J’étais hors de moi, j’allais leur crever les yeux à tous les deux. Mais avant même que ...
    ... j’ai pu ouvrir la bouche, il s’est mis à parler avec sa voix mielleuse : « Alexia, quelle bonne surprise. Entre ma chérie, ma petite sirène. Regarde, vous êtes les deux meilleures du club, et je vais faire de vous l’équipe la plus rapide, vous allez rafler toutes les médailles. Vous serez im-bat-tables ! » J’ai dû ravaler ma salive et ma rage, comme hypnotisée par sa voix, son ton, le fait que ce qu’il faisait lui semblait naturel. Dorénavant, nous étions deux pour satisfaire Son Altesse, un nabab avec son harem. Parce que c’était un peu ça.
    
    Quand on partait en compète, il nous emmenait toutes les deux dans sa Mustang, prenait deux chambres dans un motel pas cher, on mettait nos affaires dans une et on couchait avec lui dans l’autre. La Karine, il m’a bien fallu la supporter, lui rouler des pelles et lui bouffer la chatte. Parce qu’il adorait nous regarder nous « gouiner » comme il disait. Ça le rendait fou et il nous fourrait sa queue partout. Le lendemain, pour la compète, on n’était pas fraîches. Alors il nous filait des capsules, soi-disant de caféine pour nous réveiller. Ça nous rendait folles ce truc, on allait à l’eau en tremblant comme des feuilles tellement on était énervées. On gagnait l’épreuve à tous coups, soit l’une, soit l’autre, mais surtout on avait l’entrejambe en feu. Terrible. On n’avait qu’une chose en tête, se faire sauter d’urgence. Et lui qui disait « je sauterai en premier celle qui aura gagné ». Il mentait même à nos familles : « Ne vous inquiétez ...
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