Naïade
Datte: 11/01/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
plage,
piscine,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... dis que je dois rêver et que ça ne peut pas être pour moi, tout ça…
— Allons, allons, tu ne rêves pas. En même temps, c’est bien la première fois que je peux tenir tout le paquet d’un homme dans ma main, et je trouve ça très attendrissant. On va s’occuper de ta forme, n’aie crainte.
Putain c’est pas vrai. Je ne vais pas me choper la panne du siècle le soir où je conclus justement avec la nana du siècle. C’est vrai que j’ai l’impression de vivre tout cela comme spectateur et non pas en tant qu’acteur, un enchaînement de choses que je ne maîtrise pas, une sensation d’ex-corporation où je me regarde comme sur un écran. Allez, il faut se ressaisir d’urgence ou ce sera la dernière fois que je la vois. Trop bête. Concentre-toi, Jérôme ! En fait, quand elle détache son chignon et que ses longs cheveux viennent me balayer le torse et le ventre, quand sa bouche douce et chaude vient gober mon pénis et le mettre à la torture de sa langue agile, je reprends vite vigueur. Pour compléter ma forme, je vais plonger entre ses cuisses en suivant la flèche de son buisson soigneusement taillé. En suçant son petit bourgeon et en lapant son nectar, la mécanique reproductive reprend son impérieuse et absolue nécessité. De douceur à violence, de violence à folie, de folie à épuisement, nous ravageons le lit et le bain bouillonnant jusqu’à pas d’heure. On croit tout savoir à vingt-trois ans parce qu’on a fourré son zob dans une douzaine de chattes, et puis soudain on se retrouve sidéré par des ...
... prodiges insoupçonnés. Jamais je n’ai vu de tels seins tressauter devant mon nez tandis qu’elle me chevauche, couilles écrasées entre mes cuisses et ses fesses. Jamais je n’ai tenu par les hanches tendres une telle orbe dans laquelle je peux m’enfoncer jusqu’à la garde sans ménagement. Jamais lors d’une première fois une femme ne s’est offerte à la sodomie sans la moindre hésitation. Je recherche son plaisir et elle recherche le mien, tous les coups sont permis et les récompenses sont au rendez-vous. Certes, il vaut mieux être isolés du reste de l’hôtel. Ses cris de bonheur sont aussi puissants que son corps de rêve, nous semblons être de la même force et faits pour d’interminables joutes amoureuses sans vainqueur, que des ex aequo. Quand le loufiat apporte le petit-déjeuner à huit heures, je me jette sur le téléphone pour appeler Marc.
— C’est ton jour de congé, oui, je sais. Tu as quelque chose de prévu ? On peut permuter ? Tu me sauves la mise. Je suis pire que Christelle l’autre jour… Merci, salut, je te revaudrai ça.
C’est vrai que je suis dans le gaz avec le mollet flageolant. Mais après un bon café, un jus d’orange et quelques viennoiseries, ça commence à aller mieux. Juste ce qu’il faut pour remettre le couvert avec Alexia, toujours magnifique même au réveil, les yeux à peine bordés de reconnaissance. Cette fois c’est tout doux, tout en caresses et en baisers, la découverte de la carte du tendre, de ses monts, de ses vallées, de ses ruisseaux… Adorable. La femme ...