Promenons-nous dans les bois...
Datte: 09/01/2025,
Catégories:
fff,
forêt,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
nopéné,
fdanus,
aventure,
sf,
lesbos,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... découvrait ses longues cuisses.
— T’es superbe !
Lilas était sincère. La Parisii, elle, vit défiler dans son esprit des images anciennes. De vieilles gravures de femmes d’autres âges, trouvées dans de vieux livres.
Les quelques mèches rebelles de sa longue chevelure ondulée d’un noir de jais laissaient penser qu’Adeline ne s’était pas mise en frais en ce qui concernait sa coiffure. Ce qu’elle portait par contre ne faisait certainement pas partie de ses tenues habituelles. Les petits seins ronds et fermes étaient moulés par un boléro de laine blanche qui laissait ses bras et une bonne partie de son ventre plat dénudé. Pour la première fois, la tueuse voyait une femme en jupe courte. Si ses lectures et des images lui avaient permis de savoir que de tels vêtements existaient, les autres semblaient ne pas en connaître l’existence. Le bas du corps de la jeune femme était couvert par une jupe tout aussi moulante que son haut assorti et ne cachait guère que la moitié de ses cuisses. Si en s’habillant de cette façon un peu provocante, la jolie brune avait éprouvé le besoin d’être désirable, c’était parfaitement réussi. Le blanc de la laine tranchant sur la peau bronzée attirait les regards, quant à ce que la vêture laissait voir, c’était plus qu’agréable à regarder. Dès l’entrée de leur invitée, la tueuse avait deviné qu’elle passerait la journée avec la version de la jeune femme qu’elle préférait. Une Adeline calme et un rien timide avait déposé un petit baiser sec sur sa ...
... joue et en avait rougi. Aujourd’hui, la turbulente lanceuse de couteaux n’était pas de sortie, et ce malgré sa tenue un brin aguicheuse.
C’étaient les derniers jours de septembre et bientôt, pluies, humidités et fraîcheur remplaceraient les belles journées. La Parisii marchait derrière les deux femmes, et vivait un mal-être qu’elle savait avoir le plus grand mal à dissimuler. D’abord, elle était toujours un peu mal à l’aise de ne plus pouvoir évoluer en hauteur hors du village, et si comme à l’accoutumée, elle avait amené ses armes, sa nouvelle tenue lui interdisait de les porter sur elle. L’arbalète et le couteau étaient dans un sac à dos de cuir. Elle se servait de son épieu de chasse comme d’un bâton de marche et cela la rassurait un peu. Devant elle, les promeneuses n’avaient pas ce genre de soucis. Elles discutaient entre elles, partageant quelques potins qui souvent les faisaient rire.
Les trois femmes marchaient depuis un certain temps et s’étaient éloignées du village. Une légère brise les rafraîchissait d’une température encore élevée pour la saison. Les rires mêlés portèrent le regard vert d’eau vers ses amies et la grande Parisii sentit son visage rougir. De dos, ses compagnes lui offraient leurs appétissants derrières et il était évident qu’elles ne portaient rien sous la laine. Elle pouvait aisément imaginer les sillons profonds des fesses qui se balançaient doucement sous ses yeux. La chasseresse rougit encore en se souvenant qu’elle non plus ne portait ...