Promenons-nous dans les bois... - Histoires de Sexe

Promenons-nous dans les bois...

... avait aussitôt gémi. La jeune femme n’avait pas la délicatesse de Lilas et avait agressé son clitoris en collant sa bouche sur lui avec une impatience brutale autant que troublante. Un long moment, elle s’acharna sur le bouton dur d’une langue avide de découvertes et ses dents de nacre furent également de la fête, mordillant délicatement le clitoris insolemment dressé.

— Je vais jouir…

Lyrie, main sur sa bouche, étouffa un cri quand la lanceuse de couteau qui suçait toujours sa friandise enfonça durement son doigt entre ses fesses.

— J’ai vu qu’vous l’faisiez Lilas et toi…

Le doigt n’avait aucune douceur et la bouche écrasait sa proie exacerbée avec presque de la brutalité. Un orgasme dur surprit la tueuse de loups et lui fouilla les entrailles un long moment avant de s’éteindre doucement.

L’orage était passé sur la chasseresse sans que sa maîtresse ne semble s’en rendre compte et elle n’avait pas cessé ses caresses. La longue main puissante de Lyrie caressa une épaule douce.

— Le dessert était à ton goût ?

La jolie brune bougea et la tueuse sentit son doigt se dégager lentement de son petit orifice. La lanceuse de couteaux était tout aussi en sueur que sa compagne et colla ses petits seins contre ceux de Lyrie.

— T’es délicieuse. J’suis toute mouillée moi aussi maint’nant.

Adeline embrassa la large bouche en lâchant un petit soupir.

— Je serais toi, je prendrais un autre dessert avant que je m’occupe de te sécher.

La chasseresse, tout ...

... sourire, regardait Lilas en la désignant du doigt et la lanceuse de couteaux eut un drôle de regard. De l’envie et une certaine déception.

— Elle dort.
— Eh bien… réveille-la en douceur. Ensuite, je m’occuperai de toi…

À genoux aux côtés de la dormeuse, la brunette embrassait ses épaules et son dos sans que la blonde ne daigne quitter Morphée. La scène, si elle était très érotique, ne manquait pas d’une certaine tendresse et la tueuse décolla son dos du tronc de l’arbre, cheminant à quatre pattes pour rejoindre ses compagnes. Une fois à leurs côtés, elle s’assit en laissant ses mains en appui sur l’herbe, regardant œuvrer sa nouvelle complice. Les longues mèches noires balayaient le corps nu de la gardienne de chèvres et une bouche gourmande caressait tour à tour les fesses fermes avant de s’aventurer dans la profonde ravine qui les séparait. Cette nouvelle audace de la jeune femme excita aussitôt la Parisii et elle amena sa longue main entre ses cuisses, portant ses doigts sur sa fente ouverte et toujours mouillée. Visage tourné vers la tueuse de loups, Adeline cessa aussitôt ses caresses dédiées à la bergère, ses yeux noisette braqués sur les doigts de la tueuse qui allaient et venaient doucement dans l’antre ouvert.

— Fais comme moi, ma jolie…

Lyrie avait simplement murmuré et sa voisine sentit ses joues la brûler.

— Jusqu’à ce qu’elle se réveille… caresse-toi et continue ce que tu faisais.

Un rapide coup d’œil sur ses doigts mouillés de cyprine excita à ...