1. Promenons-nous dans les bois...


    Datte: 09/01/2025, Catégories: fff, forêt, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, fdanus, aventure, sf, lesbos, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... d’autres femmes travaillent autant qu’elle. C’est une femme vraiment courageuse, tu ne trouves pas. Et toi, ma belle ? Tu ne fais pas que chasser, si ?
    
    L’interpellée porta la cuillère chargée de quelques groseilles à sa bouche et prit le temps d’avaler les fruits rouges
    
    — Elle travaille trop. Tout l’monde lui dit. Moi… j’participe à toutes les chasses et souvent j’vais poser mes collets et quelques pièges toute seule. J’m’entraîne à la lutte avec les jumelles une fois par semaine, et j’passe un moment chaque jour à jouer avec mes couteaux de lancer. J’suis assez bonne maintenant.
    — Tu me feras voir ça. Et j’aimerais apprendre de toi.
    — Bien sûr.
    
    Une autre cuillerée de fruit et la jeune femme reprenait à voix basse.
    
    — J’m’occupe des peaux aussi. Du tannage. J’aime pas ça l’tannage, mais c’est dur comme travail et j’suis jeune alors… j’m’y colle et j’aide André. Et puis y a la maison et m’man… Des fois, elle a mal partout, surtout quand l’temps est humide. Alors l’année dernière j’lui ai dit que j’m’occup’rais d’la maison.
    
    La tueuse hocha la tête d’un air grave et sourit avant d’ouvrir la bouche pour accueillir les groseilles offertes par la jeune fille.
    
    — Tu sais… C’est une vie difficile, mais c’est une vie. Moi je n’avais pas de vie. Je ne me plains pas, crois-le bien. Je ne fais que constater. Et ne n’étais pas malheureuse, non… Mais maintenant je sais qu’il n’y a rien de pire que d’être seule. Dis-moi…
    
    La chasseresse s’était interrompue pour chercher ...
    ... ses mots et la lanceuse de couteaux posa sa cuillère sur ses lèvres.
    
    — J’ai pas envie d’parler d’ça. C’est une trop belle journée pour la gâcher en parlottes trop sérieuses.
    
    La tueuse eut une petite moue comique suivie d’un sourire.
    
    — Ce n’était pas mon intention. Je voulais simplement te demander de quoi tu avais le plus envie. Qu’est-ce qui te ferait le plus plaisir…
    — C’que j’veux…
    
    Lyrie assista alors à une lutte intérieure qu’elle se prit à étudier sans bien la comprendre. Les yeux noisette de l’Adeline insouciante et délurée s’étaient allumés, accompagnés d’un sourire moqueur. Puis le regard s’était comme voilé et le sourire s’était effacé, remplacé par une timidité presque émouvante.
    
    — J’veux mon dessert…
    
    La Parisii, des groseilles en bouche resta sans réaction. Un temps d’hésitation que la jolie brune mit à profit pour balayer toute timidité. La tueuse de loups, bouche bée, aspira une goulée d’air en posant sa longue main sur les mèches brunes. Les lèvres d’Adeline tétaient son sein droit. Un mamelon que sa propriétaire avait senti se dresser aussitôt la bouche sur lui.
    
    — M’mm…
    — J’crève d’envie de te goûter d’puis si longtemps.
    
    La fille de Sybille avait été très gourmande. Pas une once de la peau bronzée de la tueuse de loups n’était restée vierge des caresses de ses lèvres. Puis, la jolie brune avait allongé sa partenaire sur l’herbe et lui avait ouvert les cuisses.
    
    — T’es toute mouillée.
    
    La brunette s’était penchée et la chasseresse ...
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