Homejacking
Datte: 05/01/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica
... ce soir tu ne pourras plus te cacher derrière tes bijoux et ton statut
Elle lui crache à la figure.
— Tu vas les cracher tes breloques, c'est moi que te le dis ou sinon ton cul ressemblera au tunnel du Mont-Blanc les jours de grandes transhumances. Mais d'abord j'ai quelque chose pour rabattre ton caquet.
Elle agrippe les cheveux de Sandrine et la tire au milieu du salon. À genoux, Sandrine ne résiste pas et suit comme elle peut.
Lucia allonge Sandrine sur le carrelage. Elle retire son pantalon et son slip puis s'assoit sur la bouche de Sandrine qui fait des mouvements de tête pour refuser, mais la fille lui écrase le visage. Son sexe se colle sur la bouche de ma femme. Lucia lui pince le nez pour l'obliger à respirer par la bouche et ainsi la maintenir ouverte. Lorsque cela se produit, elle lâche un puissant jet d'urine. Il en coule partout sur le visage de Sandrine qui tente de se débattre, mais en avale en quantité. Lucia rigole doucement et maintient la pression. La tête de Sandrine est inondée, ses cheveux sont couverts de pisse et elle commence à reposer dedans. Finalement le jet se tarit.
— Lèche bien, ordonne la rousse. Aller ne te fais pas prier.
Je vois qu'elle exécute l'ordre, car le visage de la fille à cheval sur sa bouche exprime un plaisir non simulé.
— Oui, c'est bien, continue. Titille mon bouton, aspire-le. On sait bien toutes les deux que tu es une belle gouine. T'arrête pas ma salope, suce-moi! Oui... c'est ça, bonne chienne!
* * ...
... *
Depuis quelques minutes, je ne sais plus où je suis et qui est la femme qui est ma femme. Le spectacle de cette fille qui se branle sur le visage de Sandrine est troublant malgré le contexte, mais pas assez pour que j'oublie les questions que je me pose. Je regarde le truand qui accompagne Lucia, il semble avoir oublié pourquoi il est venu. Il est au théâtre porno. Heureusement pour lui que mes mains sont liées dans mon dos et remontées vers mon cou. Impossible de les passer par devant pour intervenir.
Lucia semble satisfaite des services de la langue de Sandrine.
— Maintenant que ta langue est déliée, si tu nous disais où sont le coffre et tes bijoux.
Juste des borborygmes lui répondent.
— Je ne comprends rien, dit la fille en remuant le bassin.
Le truand lui fait remarquer que ma femme semble apprécier son déhanchement sur son visage.
— C'est vrai, cette gouine adore ma chatte. Tu devrais l'enculer à sec.
— Aussitôt dit, aussitôt fait, répond le type.
Sandrine gigote, mais la fille la maintient sur le sol en se penchant en arrière et maintenant les jambes de sa proie sur la dalle avec ses mains. A deux, les intrus la soulèvent et la basculent contre le canapé, appuyant son ventre sur un accoudoir et lui écartent largement les cuisses.
— Alors, ces bijoux? Si tu ne nous dis rien, ça sera de pis en pis durant tout le week-end.
La fille se tourne vers moi.
— Désolé, on s'occupera de toi plus tard, dit-elle avec un sourire narquois. Je n'ai ...