Chalet 2
Datte: 02/01/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
campagne,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... pourtant, je dois intervenir relativement loin chez une employée qui a un virus informatique et n’arrive pas à s’en débarrasser. Au vu du virus que je détecte, je la soupçonne, elle ou son mari, d’avoir visité quelques sites pornographiques, endroit idéal pour se faire infecter. Une fois la machine nettoyée, je lui implante un antivirus puissant qui refuse aussi tout accès à des sites suspects, en lui précisant bien que le matériel fourni est fait pour travailler, pas pour s’amuser. Mais bien sûr, elle fait mine de ne pas comprendre ce que je veux dire… Je rentre le soir dans une maison silencieuse que seuls les derniers rayons du soleil couchant éclairent. Pas un bruit, pas âme qui vive en apparence. Mais je trouve sa paire de chaussures au pied de l’escalier et, levant la tête, son pantalon sur les marches, puis son débardeur, puis son soutien-gorge et enfin sa culotte sur le palier.
— La petite Poucette a marqué son chemin, dis-je en entrant dans la chambre.
Nous faisons l’amour jusqu’à minuit, heure idéale pour réveillonner. Un dimanche nous allons dans une foire aux produits bios, car elle ne jure que par ça. Je n’y trouve rien à redire mais trouve excessif que les produits classiques provoquent chez elle de vives réactions d’aversion, jusqu’aux médicaments qu’elle refuse à moins d’être vraiment bien malade. À l’évidence, ce n’est pas elle qui ruine la Sécu. Sur ce marché donc, elle trouve quelques bricoles à acheter et nous passons devant un orgue de barbarie qui ...
... se met à jouer « Mon amant de Saint-Jean ». J’entonne alors les paroles d’une voix puissante, elle m’accompagne, d’autres gens aussi et nous esquissons quelques pas de valse. L’animateur de l’orgue en costume traditionnel est ravi. À la fin du morceau, les gens applaudissent pendant que nous nous embrassons publiquement à pleine bouche. Au retour, cette séance publique l’a rendue comme folle, et elle se jette sur moi dès la porte franchie, arrachant nos vêtements pour une séance de sexe totalement délirante. Elle hurle son plaisir à pleins poumons et je me réjouis encore de ne pas habiter en appartement. C’est sûrement ce que lavox populi attendait pour nous cataloguer en tant que couple, puisque peu après la tenancière du café me dit en confidence :
— Dites donc, il paraît que la p’tite institutrice elle perd les pieds chez vous. Oh, un bien joli couple, ma foi, un bien joli couple. Profitez-en, c’est bien, quand vous aurez mon âge…
— J’aurai des souvenirs !
— Vouiiii ! Oh, mais vous savez, j’ai pas à me plaindre.
— Je veux bien vous croire, chère Madame.
Mais je la laisse là avec ses souvenirs de jeunesse, n’ayant pas du tout envie d’entendre ses exploits érotiques, moi qui ne l’ai connue que toute jaune et fripée comme une vieille pomme de reinette.
La fête de la musique est également une soirée mémorable où nous allons d’animation en animation, chantant, buvant et dansant, jusqu’à finir dans une guinguette de jazz au bord du Rhône. Vers deux heures du matin, ...