Chalet 2
Datte: 02/01/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
campagne,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... au moment de rentrer, elle s’aperçoit ne plus avoir d’essence dans sa « griotte », c’est ainsi qu’elle appelle sa petite Ford rouge. Elle s’arrête dans une station de supermarché complètement déserte pour faire le plein et remonte. Mais au lieu de mettre le contact, là, sous les néons crus de la station, elle se penche soudain sur moi, défait mon pantalon et me gratifie d’une pipe magistrale. Elle suce merveilleusement bien, surtout ce soir-là à cause peut-être de l’alcool, sa langue agile vrille délicieusement ma queue, fouette mon méat, sa bouche s’enfonce sur mon pieu jusqu’à la gorge tandis que ses doigts pressent ma hampe et pétrissent doucement mes bourses. Je me laisse faire, prenant tout ce plaisir offert et comprenant bien que les situations les plus risquées sont pour elle le meilleur des excitants. Je jouis dans sa bouche toutes les réserves accumulées par ces heures passées dans ces différents lieux, où tant de fois ses attitudes, ses gestes ou ses paroles m’avaient donné envie d’elle. Elle se relève, se rengorge pour tout avaler avec délectation, puis démarre en déclarant satisfaite :
— Ahhh, quelle belle soirée !
— Excellente, en effet…
C’est une chose qu’elle pratique assez souvent et qu’elle doit bien aimer. Je me souviens d’un soir où nous revenions d’un concert et nous traversions un parc municipal, raccourci pour regagner la voiture. Il faisait bon et nous profitions nonchalants de la douceur de cette soirée en basse altitude, il faisait toujours ...
... beaucoup plus frais dans nos montagnes. Lui trouvant encore une fois une jolie silhouette, je l’arrêtai sous un réverbère pour l’embrasser et caresser ses seins au travers du pull léger, car j’en savais les pointes nues vu qu’elle ne portait que des balconnets. Dès que mes mains pétrirent ses globes et effleurèrent leurs pointes, son visage changea brusquement, passa du sourire à une sorte de gravité inquiétante. Ce simple attouchement avait réveillé Mrs Hide, et elle s’accroupit aussitôt pour dégager mon sexe et l’enfourner dans sa bouche chaude et accueillante. Je me souviens encore du haut bâtiment qui bordait ce parc et qui était certainement un lycée. Je pensais à ces pauvres internes se masturbant tout tristes dans la solitude de leurs lits métalliques et grinçants, alors que j’étais là, à quelques mètres d’eux, en train de me faire sucer par une femme superbe qui n’aurait pas manqué de leur faire dessiner tout un planisphère dans leurs draps. Je goûtais pleinement cette chance, ce qui redoublait mon plaisir. À peine avais-je déchargé sur sa langue qu’un groupe bruyant s’annonça, et j’eus juste le temps de rajuster mon pantalon, nouvelle occasion de fou rire mais aussi et surtout, je crois avec le recul, goût du danger qui était pour elle source d’un plaisir et d’une excitation inouïs.
Quelque temps plus tard, elle me demande si je peux nous filmer en train de faire l’amour, afin de nous voir et de se voir, ce que l’action ne permet pas. Nous installons alors la chambre ...