Chalet 2
Datte: 02/01/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
campagne,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... sexe de son pied nu, à travers le pantalon. Pendant qu’elle engloutit goulûment et sans sourciller le pantagruélique menu ardéchois, elle me jette quelques œillades, guettant mes réactions. Je suis au bord de l’explosion et je ne trouve qu’un moyen de calmer ses ardeurs, la chatouiller sous le pied. À un moment, elle le retire si fort que son genou manque de peu de renverser la table. Encore une occasion de fou rire. Le plat terminé, elle se lève et se dirige vers la porte des toilettes toute proche. La main sur la poignée, elle me fait signe :
— Viens !
Je me lève aussi, après tout, pourquoi pas… Sitôt enfermés elle se tourne, lève sa jupe et baisse sa culotte jusqu’aux genoux. Ses cuisses sont déjà trempées de la cyprine sourdant à flot continu de sa petite chatte excitée. Je la prends ainsi, debout dans les toilettes, elle, mordant son index pour ne pas crier. Furieusement excité par ses caresses et l’incongruité de la situation, je ne tarde pas à éjaculer en elle à gros jets tandis que les soubresauts de l’orgasme la disloquent. Haletant, je range mon engin et me recompose une apparence à peu près correcte, tandis qu’elle plonge un doigt dans son sexe, le sortant plein de jus mêlés et elle le suce en déclarant gourmande :
— Hummmm… Le meilleur du repas !
— Mais tu es vraiment salope, dis-je ébahi !
— Non, seulement folle, folle de ta queue !
Elle rit à nouveau, remonte sa culotte et nous sortons sous l’œil inquisiteur de l’Ardéchois. En retraversant ...
... Valence, une affiche lui saute aux yeux : un cinéma diffuse « The Million Dollar Hotel » de Wim Wenders, son cinéaste préféré. Nous nous arrêtons, une séance vient de débuter, le temps de la pub nous n’aurons rien raté. Pas trop fan de Wenders, la présence de Mel Gibson me rassure. Placés au fond de la petite salle parce qu’arrivés en retard, seuls sur quelques rangées, elle poursuit son opération d’excitation en me branlant distraitement tout le long du film, la main dans ma braguette ouverte. Je pourrai revoir le film sans problème, je n’en ai pas vu grand-chose. En sortant, je lui dis :
— Mais qu’est-ce qui t’arrive pour être coquine comme ça aujourd’hui ?
— C’est la pleine lune, mon chéri, et je suis une louve en chaleur… Houuuhouu !
Elle pousse ses hurlements jusqu’à la voiture en tournoyant sur elle-même et en s’appuyant alternativement sur ses jambes raidies comme un culbuto ou un pantin. Inutile de dire que les gens sortant du cinéma regardent cela d’un air ahuri et perplexe, tandis que quelques sifflets fusent. Dans le calme de l’habitacle, elle conclut :
— Je suis heureuse, c’est tout, heureuse avec toi, heureuse comme une gamine.
J’avais déjà entendu cela avant que le pire n’arrive. Mais le pire met du temps à arriver et notre histoire se poursuit dans un bonheur sans mélange jusqu’aux vacances à ce rythme, puis tout le mois de juillet en complète vie commune. Je continue de travailler mais relativement en dilettante puisque tout va plutôt bien. Un jour ...