Chalet 2
Datte: 02/01/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
campagne,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... dégageant une vulve charnue et couverte de duvet doré, la taille encore plus creusée par cette position, un sein reposant sur la toile de coton, l’autre pointant en l’air, en appui sur un coude elle m’attend tranquillement, offerte. Elle me regarde, amusée, me dévêtir sans que mes yeux hypnotisés ne quittent d’une seconde ses formes harmonieuses. La ceinture élastique de mon slip accroche mon sexe dressé qui vient fouetter mon ventre, puis j’avance doucement pour caresser cette sculpture vivante posée sur ma couche. Elle se laisse faire sans bouger, accueillant mes mains et ma bouche avec autant de bienveillance que de détachement. Elle ne bronche pas non plus quand je me mets à califourchon sur sa jambe restée tendue et que j’amène mon sexe à la hauteur de cette vulve dont j’ai pu tâter l’intense humidité. Dès lors que mon sexe la pénètre, une furie se déclenche. Elle aime faire l’amour, elle aime jouir, et elle se donne de toutes les façons comme une folle et sans prononcer une parole, n’émettant que des râles de plaisir jusqu’à deux heures du matin.
Épuisé mais ravi, je m’endors lourdement contre elle, ne me réveillant que vers neuf heures. Je sors du lit délicatement, la laissant dormir, puis vaque à quelques tâches ménagères, rallumant au passage une flambée : les petits matins sont encore frais avant l’arrivée du soleil. Vers dix heures trente, elle descend silencieusement sur ses pieds nus, m’offre un gros baiser passionné, prend une tasse de café et sort la boire ...
... sur la terrasse en fumant sa première cigarette dans le plus simple appareil. C’est simple, elle ne s’habille pas du week-end. Dire que c’est excitant est faible, surtout quand la dame est très bien faite comme c’est le cas, et elle ne perd pas une occasion, dès que mes forces sont reconstituées, de se donner dans un incroyable délire érotique. Une prêtresse de la jouissance, et c’est délicieux.
Elle tient à partir le dimanche soir, malgré la proximité de l’école, à peine douze kilomètres, pour préparer ses cours et être prête et sur place dès le lundi matin. Mais elle revient le mardi soir, puis le vendredi soir et ainsi de suite jusqu’à fin juin, à l’exception des vacances qu’elle passe dans sa famille dans sa chère ville du Puy. Nous sortons aussi assez fréquemment, écumant les bons restaurants du secteur. Un mardi soir, je l’emmène dans une petite auberge près des ruines d’une citadelle surplombant Valence côté ardéchois, Crussol. En arrivant au bout de l’étroite route escarpée, pas une voiture, au point que je crains un instant que l’établissement ne soit fermé. C’est vrai qu’il pleut, mais nous dînons seuls toute la soirée. Je lui glisse fièrement :
— J’ai retenu le restaurant pour nous tout seul.
— Vrai ? Super ! On va pouvoir faire l’amour alors…
Nous éclatons de rire, pensant à la tête du patron-cuisinier serveur très typé Ardéchois bon teint. Mais elle ne s’en tient pas là. Posant sa ballerine, elle tend la jambe sous la table et se met à me caresser le ...