Une envie de tatouage - Histoires de Sexe

Une envie de tatouage

... silence l’épisode de la douche avec Emma. Je lui relatai ma promenade en moto, la glace aux pieds des châteaux et bien sûr la visite chez Clotilde. Je lui décrivis le superbe corps de Sophie et les fabuleux dessins qui le recouvraient.

— J’adore ce prénom, Clotilde, ça fait moyenâgeux.
— Que dirais-tu si je me faisais faire un tatouage ?
— Tout dépend quoi et où.
— Je ne sais pas encore, sûrement dans le dos, une zone qui n’est pas visible de tout le monde.

Elle me coupa presque la parole

— Du moment que moi je peux le voir… Tu as une idée du motif, du dessin ?
— De toute façon pas de choses violentes, un peu comme ce que fait Clotilde, genre fleurs et papillons japonisants, mais moins que sur Sophie, bien sûr.
— Elle en a beaucoup, Clotilde ?
— J’ai pas tout vu, mais oui les bras et les cuisses, superbes. C’est son ancienne associée qui lui a fait à Paris, il y a une dizaine d’années et ça vieillit bien, très net. Par contre, elle a la peau plus tendue que la mienne si tu vois ce que je veux dire.

Je l’entendis glousser. Plus je parlais plus l’idée me tentait. Il se rajoutait une certaine excitation d’évoquer cette possibilité avec Élodie. Je repoussai le drap, je voyais nettement mon clitoris qui s’était en quelque sorte déployé. Fièrement dressé, il dépassait en bas de mon ventre comme une excroissance vermeille, le gland totalement décapuchonné. Un petit silence s’était installé.

— Si tu te fais tatouer, je le ferais aussi.
— Tu ferais quoi, toi ...

... ?
— Un papillon sur le pubis, j’ai vu une fille, une fois, qui avait ça. Le corps du papillon, c’était la fente.
— C’est une zone très sensible, ça doit faire super mal et puis il faudrait que tu t’épiles complètement.

L’idée de voir le sexe d’Élodie sans poils accentua encore, si cela était possible, la tension dans mon petit membre.

— J’y pense sérieusement. Je suis entourée de filles et de femmes lisses. Entre toi et Matilda, je fais vintage.
— Quand je rentre, je t’emmène voir Carole, mon épileuse.
— D’accord. De toute façon, chez mes amis, je garderai mon slip autour de la piscine.
— Tu caches tes poils ?
— Non, mais je sais que tu aimes mes fesses blanches.

Nouveau silence. Mon clitoris ne pouvait se développer plus, je le flattai doucement ce qui évidemment me procura une immédiate tension et le désir irrépressible de poursuivre jusqu’au plaisir.

— Tu fais quoi ?
— Devine ?
— Si c’est la même chose que moi, je suis dans la salle bain.
— Moi, dans le lit.
— Toute nue ?
— Oui, bien sûr.

La communication coupa brutalement. Quelques secondes plus tard, l’écran se ralluma pour un appel en visio que j’acceptai avec empressement. L’image était parfaite, Élodie était dans sa salle bain, nue, les fesses appuyées contre le lavabo. De sa main libre, elle malmenait un sein dont elle pinçait brutalement la pointe turgescente.

Je posai mon téléphone sur mon ventre pour lui montrer mon érection clitoridienne. Sa main se déplaça vers son ventre et son sexe ...