1. Une envie de tatouage


    Datte: 01/01/2025, Catégories: ff, groscul, fépilée, hotel, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation journal, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... mes tétons qui, eux, sont un peu au-dessus de la moyenne, j’ai aimé les faire percer. C’est une mise en valeur, un bijou, et puis entre nous, le téton reste en érection, c’est très agréable.
    
    Elle avait assorti sa dernière phrase d’un clin d’œil complice.
    
    — Il y a un autre endroit aussi très demandé.
    
    Elle se pencha vers moi en baissant le ton pour éviter, sans doute, la curiosité de la table voisine.
    
    — Sur le sexe et en particulier le clitoris, c’est très bien aussi. Et sur un pénis, l’effet est le même.
    
    Rien qu’à l’idée, j’eus un frisson. Mais elle ne connaissait pas mon clito. Elle remarqua mon recul, mais je n’avais pas envie de discuter de ma particularité. Je fus sauvée de la suite de la conversation par le retour de Benoît. Je restai cependant un peu sur ma faim, ne sachant pas si elle et lui avaient des piercings sur leurs sexes.
    
    Benoît nous expliqua tout l’intérêt de ce site qui possède cinq châteaux-forts. Il était revenu avec deux brochures qu’il serrait contre lui comme si c’étaient des objets de grande valeur. Christine lui raconta notre conversation.
    
    — On pourrait passer voir Clotilde à Poitiers, vu l’heure elle doit encore être au boulot.
    
    Christine m’expliqua que Clotilde était « la » tatoueuse de la région. Incontournable dans la finesse de ses dessins et la qualité de son graphisme. Ils s’étaient connus à Paris lors d’une sorte de congrès qui rassemblait la crème des tatoueurs. Il y avait un concours avec différentes catégories. ...
    ... Clotilde avait eu le deuxième prix pour untatoo sublime en noir et blanc. Benoît passa un coup de fil et nous confirma :
    
    — Clotilde nous attend, elle m’a expliqué qu’elle était sur un gros chantier, que la boutique est fermée. Il faudra lui passer un coup de fil en arrivant, elle viendra nous ouvrir.
    
    Benoît tout content me précisa :
    
    — Comme ça, tu la verras peut-être travailler en direct.
    
    Nous avons repris les motos et je fus contente d’arriver, car le trajet fut bouclé rapidement. Le haut de Poitiers était un dédale de petites rues avec de multiples sens interdits. La boutique de Clotilde avait une devanture discrète, juste une grande vitre opaque sur laquelle était inscrit « Clotilde Tatoos & Piercings » en caractères gothiques textura comme me l’expliqua Benoît, c’est-à-dire quasi illisibles pour moi. Clotilde vint nous ouvrir quelques minutes après l’appel. J’ai été surprise par son physique. Je me faisais souvent une idée des gens en fonction de critères totalement subjectifs et j’étais régulièrement déconcertée lorsque j’étais confrontée à la réalité. Je m’attendais à voir une jeune femme avec un look un peu déjanté et j’avais en face de moi une femme pulpeuse qui devait afficher, à peu de chose près, le même âge que moi.
    
    Il y avait cependant une différence notable avec sa teinture des cheveux qui était assez proche d’un rose Barbie. Elle portait une espèce de salopette en vieux jean un peu élimé avec un tee-shirt qui devait, un jour, avoir été blanc. Sous le ...
«1234...8»