Une envie de tatouage
Datte: 01/01/2025,
Catégories:
ff,
groscul,
fépilée,
hotel,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
journal,
lesbos,
Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe
... dessin peut devenir imprécis.
Au moins les choses étaient claires !
— Christine vous fera de très jolies choses, passez me les montrer à l’occasion.
La sonnette retentit, un autre client arrivait. Je m’attardai un peu dans le couloir, il y avait des photos magnifiques. Clotilde remarqua mon intérêt.
— C’est une amie photographe qui a fait tous ces clichés. C’est, pour moi, un véritable trésor.
Il m’avait paru évident que le terme trésor s’adressait tout autant aux photos qu’à leur auteur. Nous nous sommes embrassées comme à l’arrivée et retour rapide à l’hôtel. La fin d’après-midi était douce et Christine me proposa un passage à la piscine. Nous nous sommes retrouvées dans le vestiaire, j’avais oublié mon haut de maillot.
— J’ai jeté un coup d’œil, il n’y a personne à la piscine et voir un bout de sein n’a jamais tué personne. Moi par contre bien que je n’aie pas de poitrine, je mets le haut à cause des barrettes.
Nous avons pris la douche. Christine était charmante et reposante. Sa voix était douce et elle semblait prendre la vie comme elle était, sans résignation, mais avec l’acceptation de la sagesse.
— Je voulais te montrer, comme on en a parlé tout à l’heure.
Elle s’approcha et ouvrit son sexe avec ses deux mains. Elle m’exposa le piercing bien caché sous des lèvres plantureuses. C’était une petite barrette qui faisait toute la longueur du capuchon. La boule inférieure plus grosse que la supérieure reposait directement sur le petit ...
... gland.
— Comme tu vois, c’est très agréable, même quand tu marches, et ça accentue le plaisir.
Nous allâmes nous installer sur deux transats. Je laissai tomber la serviette dans laquelle je m’étais enroulée, il n’y avait personne. J’aimais avoir les seins nus.
Nous ne sommes pas restées longtemps, juste le temps de quelques brasses, pour le plaisir de l’eau fraîche. Le dîner fut simple et rapide. J’étais fatiguée et nous avons regagné nos chambres respectives.
Je venais de me glisser avec bonheur dans les draps frais et lisses lorsque mon téléphone s’alluma : Élodie. Non seulement il n’était pas question de ne pas répondre, mais j’étais heureuse de son appel malgré l’heure tardive.
— Je ne te dérange pas ?
— Pas du tout, au contraire. Je suis contente de t’entendre.
— Moi aussi, bien sûr.
Il y eut presque un silence. Comme si chacune attendait que ce soit l’autre qui commence. Nous étions empêtrées dans une sorte de retenue, probablement de peur de nous dévoiler trop intimement. Elle rompit le silence en utilisant la question la plus neutre du monde, la météo.
— Tu as beau temps ?
— Oui, pas trop chaud, tu sais ce que j’ai fait ?
C’était le type même d’interrogation stupide en sachant pertinemment que l’autre ne pouvait évidemment pas répondre à la question.
— Dis-moi !
Ces deux mots furent le sésame qui ouvrit la porte d’une vraie conversation avec, bien sûr, un soupçon de confidentialité. Je lui racontai ma rencontre avec les motards, je passai sous ...