1. Dana du sixième


    Datte: 28/12/2024, Catégories: fh, hplusag, extracon, voisins, lunettes, bizarre, ascenseur, fsoumise, revede, odeurs, Oral pénétratio, fsodo, délire, occasion, Auteur: Ian, Source: Revebebe

    ... l’embrasser sur les seins qui ont surgi hors de leur chemisier. Je lui mordille les tétons en pressant les deux mamelons l’un contre l’autre.
    
    Elle cherche mon sexe, le dégotte et le caresse lentement. Il est englué, chargé de ses propres sécrétions. Je saisis ses doigts et les dirige vers sa bouche en lui intimant l’ordre de les lécher. Elle s’exécute.
    
    — Donne-moi ta culotte !(Elle l’avait gardée baissée jusqu’aux mollets.)
    
    Elle me jette un regard interrogatif.
    
    — Comme on n’a pas la place de se faire un 69, je vais sentir ta chatte en même temps, ta culotte mouillée sur mes narines pendant que tu me suces.
    
    Elle lève ses pieds l’un après l’autre pour libérer le petit bout de tissu convoité et s’accroupit. Je la cale contre la paroi et lui plante mon membre viril dans la bouche. À toute nouvelle entrée dans le corps de l’autre correspond une dimension supplémentaire du plaisir… Je me répète, mais c’est pourtant vrai.
    
    J’ai bien observé son hésitation, vu que je venais de lui faire l’anus. Mais elle obtempère sous le coup de la sidération. Tandis que je sens ses doigts jouer avec mes bourses, j’enfile sur ma tête sa culotte qui me plonge, par l’odeur de son intimité, dans une sorte d’ivresse olfactive. Je lèche le tissu et le mâchouille tout en me laissant aller au plaisir de la fellation. Dana émet des sons emblématiques du travail de sa gorge attaquée par mon dard agressif.
    
    J’ai l’impression d’atteindre ses amygdales tant les sensations sont fortes et ...
    ... stimulantes. Je sens la sève monter, sa culotte entre les dents étouffe l’expression de ma jouissance. À mes grondements et frissons, elle doit se douter que je suis prêt à jouir. Elle libère ma queue de ses mâchoires et l’attrape vigoureusement pour la branler tout en gobant mes deux boules à la fois, puis en les étirant séparément par de puissantes succions.
    
    Conséquence prévisible, j’éjacule dans sa main et en partie sur sa tronche. Elle ralentit la cadence, mais augmente l’amplitude du branle-bas pour extirper le maximum de ma substance. Reprenant ma respiration, je veux asseoir encore davantage ma domination, à grand renfort de sarcasmes :
    
    — Je m’étais juré de jaillir dans ton gosier, l’inonder de mon foutre, mais comme tu as su deviner que le bonheur suprême chez moi venait du soin apporté à mes couilles… je te pardonne !
    
    Cela disant, je lui caresse la gorge pour l’inciter à me reprendre en bouche de façon transversale cette fois, pour aller dans les coins. Sa docilité à nouveau m’étonne. Elle rehausse la tête, me toise du regard ; je l’aide à se relever, m’essuie la queue avec sa culotte et la lui redonne.
    
    — Qu’est-ce que tu veux que j’en fasse maintenant ? dit-elle, offusquée.
    — Bien, renfile-la.
    — Elle est trop « dégueu » ; et toi avec ! s’indigne-t-elle.
    — Tu as raison, je la garde. Elle me servira de preuve contre toi s’il te venait l’envie de me (re)faire des ennuis. Mais je te promets de ne pas la laver.
    
    Pris d’une pulsion machiste, je l’attrape par ...