Dana du sixième
Datte: 28/12/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
voisins,
lunettes,
bizarre,
ascenseur,
fsoumise,
revede,
odeurs,
Oral
pénétratio,
fsodo,
délire,
occasion,
Auteur: Ian, Source: Revebebe
Curieusement j’ai rêvé de ma voisine la nuit dernière, malgré toutes nos déconvenues dans la vraie vie, relations calamiteuses, guerre froide, tensions, etc.
C’est donc le sex-appeal qui prédomine l’esprit, le subconscient, preuve qu’elle ne m’a jamais laissé insensible. Depuis qu’elle et son mari étaient venus chez nous prendre l’apéro, une idée de mon épouse pour régler à l’amiable nos différends de voisinage, je lui trouvais un certain charme, en partie imputable à sa voix particulière, pas vraiment enrouée, mais très légèrement cassée et teintée d’un petit accent toscan ; ou plutôt un phrasé empressé, semi-maladroit qu’on reconnaît de loin en dépit de sa fréquence basse. Et puis la blondeur de cette jeune trentenaire à la silhouette fine et sportive joue résolument en sa faveur.
On se retrouvait donc nez à nez dans un endroit exigu – qui aurait pu être un ascenseur – sans filtre, proches l’un de l’autre, au bord de l’étreinte.
Elle, enveloppée de son épaisse chevelure ébouriffée, lunettes noires dissimulant une expression lointaine, interdite.
Moi, surpris, mais enclin à laisser parler la nature, fataliste sur le besoin urgent de débrider nos corps sujets à des pulsions animales. Abandon de la raison et des rancœurs qui s’effacent devant l’imminence d’une fusion purement sexuelle.
La recherche de la jouissance à tout prix est la seule réflexion encore capable d’occuper mon cerveau que le subconscient bombarde d’images fantasmées de la chatte de Dana moulée ...
... dans une petite culotte moite et parfumée de ses envies.
J’y glisse mes doigts pour sonder la température entre ses lèvres intimes. Je me brûle, mais j’aime ça… Je goûte le fruit de ma recherche et m’enivre de saveurs si bénédictinement* féminines.
Pour la garder dans un état de dépendance physique, je laisse mon doigt baiseur investir l’entrée de son vagin. La réaction est fulgurante. Elle sursaute, tressaute, gigote, en attendant que je la saute. Ce qui ne saurait tarder, vu mon état de fébrilité et de surexcitation. Mais, comme un grand pécheur devant l’éternel doit le faire, je décide de fatiguer le poisson avant de le remonter à bord.
Je commence par la branler d’une main ferme, et celle qui n’est pas dans sa culotte lui malaxe le sein droit, appétissant sous son chemisier, lui faisant péter quelques boutons au passage. Je sens qu’elle amortit au mieux ses petits cris et gémissements, notre fornication n’ayant pas besoin de publicité dans l’immeuble.
Mes cuisses ont enfourché son flanc gauche et le gonflement dans mon slip est palpable pour tous les deux. Je me frotte à elle pour persévérer dans l’envoi de signaux que Dana capte cinq sur cinq apparemment puisqu’elle vient appliquer la paume de sa main sur la bosse de mon jean. Je me cambre pour lui indiquer qu’elle est sur la bonne voie. C’est donc elle qui procède à la libération de mon braquemart, moi, j’ai les mains prises.
Elle enserre mon sexe dans ses doigts fermes et déterminés ; en conséquence de ...