1. Dana du sixième


    Datte: 28/12/2024, Catégories: fh, hplusag, extracon, voisins, lunettes, bizarre, ascenseur, fsoumise, revede, odeurs, Oral pénétratio, fsodo, délire, occasion, Auteur: Ian, Source: Revebebe

    ... caoutchouteux hyper réactif à tout contact.
    
    Ce fameux clitoris que j’aime aussi en sucette quand les circonstances s’y prêtent. Et la tête chercheuse finit sa course sur un douillet gazon fraîchement tondu ras. Pas de zone d’ennui donc ; toutefois il ne faut pas traîner vu le risque d’être interrompu, ce qui serait effroyable.
    
    Je garde le rythme régulier relativement lent de va-et-vient et, c’était prévisible, ma queue enfourne dans le vagin de ce petit bout de femme si désirable. La pénétration me fait toujours passer dans une autre dimension. Là, je suis fier d’avoir franchi cette étape de l’acceptation ; la meilleure façon d’exprimer ma gratitude est de lui en donner pour son plaisir. J’ai trouvé Dana tellement bandante que la taille de mon pénis remplit sans défaillir l’espace à envahir. Les parois de son vagin me gratifient de délicieuses contractions me provoquant des montées de sperme. Je me cambre le plus possible pour la combler sentant son orgasme venir. Je ne peux plus me retenir et laisse ma semence jaillir en elle.
    
    Un long soupir de satisfaction me dit qu’elle a eu sa dose d’adrénaline. Comme j’avais en tête de la sodomiser, je ne vais pas attendre de me ramollir pour concrétiser. Je me retire et stimule ma queue pour la garder dure à souhait.
    
    Je recule prudemment le gland en appui sur le périnée et remonte dans le sillon fessier jusqu’à trouver la porte d’entrée anale. Là, c’est un autre type de résistance à la pénétration qui m’envoie dans une ...
    ... autre dimension encore. Contrairement à une chatte qui freine l’avancement de la verge juste au début pour s’ouvrir ensuite, le colon reste serré sur toute la longueur de la pénétration.
    
    Les sensations sont celles d’une main imaginaire bien ferme qui viendrait vous branler de l’intérieur. Avec un peu de chance la partenaire joue le jeu et prend plaisir en se caressant le clitoris comme c’est le cas pour « Dana, la cruella. »
    
    Malgré nos relations de voisinage pourries, j’agis sans rancune ni méchanceté. Je veux juste clairement dominer la blonde. Chaque coup de boutoir dans ses miches est une correction, ou pire : un châtiment.
    
    Il ne faut pas que sa jouissance soit une fin, encore moins une priorité, mais une conséquence de mon bon plaisir. Je crois qu’elle a compris le message, car je la sens de plus en plus soumise et c’est tant mieux.
    
    J’adore la posture rodéo pour la fourrer bien profond, les épaules en arrière, une main accrochée à sa crinière, l’autre à son écharpe dont elle ne se départit jamais. Elle est dans la phase « douleur qui fait du bien. »
    
    Je calme le jeu et, m’approchant de son oreille lui murmure :
    
    — Je veux qu’à chaque fois que tu baiseras avec ton mari, tu repenses à ce moment-là, et comme tu me donnes envie de jouir à nouveau tu vas me sucer maintenant.
    
    Elle répond par un hochement de tête approbateur, je la retourne vers moi, elle a les yeux dans le vague, toute étourdie. Sans sentimentalisme je rends hommage au corps féminin en allant ...