Chapitre IV – Walbaknak !
Datte: 28/12/2024,
Catégories:
fh,
ff,
Oral
Humour
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... qu’ajouter à sa confusion quand elle lui claqua deux bises, lui faisant respirer son parfum. GC était en amour, Claudia, sa femme, faisait la gueule… Attention, ça sentait la nitro !
Chacun se tourna vers la belle arrivante qui se tailla une jolie part de succès auprès des mâles présents et suscita une prudente, mais certaine défiance du côté des femmes.
Carla et elle s’embrassèrent chaleureusement, Béatrice fut beaucoup plus tiède…
— Tiens… La voilà, celle-là ! Décidément…
On ne sut jamais ce qui avait été décidé, mais comme d’habitude, Honey ne se départit ni de son calme ni de sa bonne humeur… Enjouée :
— Oh Béa, chérie ! Toujours aussi chaleureuse… Comme je te reconnais bien là !
Ces deux-là s’adoraient.
Carla prit sa jolie copine par le cou :
— Alors, c’est décidé ? Tu viens avec nous ?
— Oui, et tiens-toi bien ! Claudia, tu sais, Claudia Cristiani, la belle Claudia veut venir elle aussi, et du coup son mari a exigé de l’accompagner.
— Oh ! Cet emmerdeur… !
— Ce connard, tu veux dire !
Évidemment, c’était Béatrice.
— Et, cerise sur le gâteau : Faust veut nous accompagner. Lui aussi veut sortir. Je l’ai eu au téléphone tout à l’heure, il vient à deux heures.
— Le Faust qui l’a… ?
— Oui, lui-même… Avec le mari, ça risque de faire de sérieuses embrouilles. Surtout que maintenant, depuis qu’il l’a… hum, hum ! … Elle est raide dingue de lui ! Elle dit qu’elle ne peut plus s’en passer.
— Eh bien, joli sac de nœuds, c’est le cas de le dire ...
... !
Béatrice encore, avec sa belle humeur habituelle.
Ainsi, la très belle Claudia Cristiani les accompagnait dans cette improbable quête de leur auteur ! Elle aussi, donc, aspirait à autre chose qu’à son statut de femme magnifique, certes, de beauté trop plus qu’humaine, mais aussi de salope bourgeoise, totalement dévoyée.
Nous nous retrouvâmes tous, dans le salon qui devenait trop petit, et les conversations s’enchevêtrant dans un joyeux brouhaha, nous prîmes un verre de vermouth avant de passer à table.
Une nouvelle fois, la puissante sonnerie retentit. La Zia alla ouvrir.
— Ciao, Bella, viens, entre. Tu vas déjeuner avec nous, Mick est là, tu te souviens de…
Simona ! Simona, que j’avais vue pour la dernière fois à l’âge de quinze ans et qui devait en avoir dix, à l’époque, était devenue une femme merveilleusement belle, de ces brunettes nerveuses et piquantes qui vous foutent le feu au premier regard.
Béatrice était sous le charme.
La Nonna, petite souris espiègle et discrète, en profita pour s’éclipser, non sans nous avoir réitéré son invitation pour ce soir, et s’en alla, trottinant vers son appartement, rejoindre le Nonno qui l’attendait, sirotant sûrement son café devant sa vue sur le mont Rose.
Les beaux jours !
J’observais le joyeux groupe, et m’aperçus vite des prises d’intérêt qui y montaient, faisant grimper le taux d’hormones de certains à des sommets historiques.
Gian Carlo n’avait d’yeux que pour la splendide Honey qui, elle, ...