1. Huit femmes


    Datte: 24/12/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, inconnu, vacances, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, ffontaine, Masturbation fdanus, uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... son corps.
    
    Je me suis coulée entre ses cuisses. J’ai frotté sa chatte avec mes seins tout en embrassant les siens et en buvant sa bouche. J’ai cajolé ses tétons, j’ai aspiré ses mamelons, je l’ai tétée avec passion. J’ai léché son ventre, titillé son nombril, farfouillé du nez dans ses poils et humé leur odeur. Que c’était bon d’entendre ses soupirs !
    
    J’ai promené mon menton autour de son sexe. J’ai écarté ses lèvres et je les ai baisées toutes gonflées et tendues. J’ai avalé ses longues nymphes, ses nymphéas que j’adore. Je les ai mâchouillées, mastiquées, étalées, ployées et déployées contre mon palais. Je sentais son pubis tressauter et je me saoulais de ses petits cris étouffés.
    
    J’ai sucé son clitoris. Je me suis appliquée à le rendre encore plus dur qu’il n’était. J’ai pris sa capuche entre mes dents, je l’ai repoussée pour faire saillir le bout nu que je tapotais de ma langue. La mouille coulait et Colette geignait. Je n’avais cure, ni de cyprine ni de plainte. Je ne voulais qu’affoler de désir, conduire au bord du supportable, exciter à hurler.
    
    J’ai dégusté le miel clair de mon amante. J’ai fouillé la source de ce suc. J’ai léché, j’ai lapé, j’ai avalé, j’ai exigé de nouvelles ondées. J’en étais folle, enivrée, enfiévrée, impatiente de me gorger encore et de mouille et d’odeur. Je n’ai pas cessé quand l’orgasme est monté, je suis restée rivée à la fente quand il a explosé. J’étais une ventouse, une goule attachée à sa proie, fixée sur le con qui ...
    ... pleurait. J’ai dû tenir les hanches de ma chérie pour qu’il ne m’échappe pas pendant qu’elle jouissait.
    
    Alors, l’une et l’autre repues, heureuses du plaisir dispensé et reçu, alanguies de bonheur et trempées de l’amour partagé, j’ai rampé sur le corps toujours tremblant de Colette. J’ai approché ma tête de la sienne, et ma figure, barbouillée de son jus de fille, je la lui ai donnée pour qu’elle savoure ses propres sécrétions. Ainsi, nos bouches ont pu se joindre parfumées des mêmes fragrances et se souder jusqu’à ce que l’air nous manque.
    
    La nuit, ensuite, a été calme et tranquille. Se laisser prendre par le sommeil, lovée contre Colette, était un délice. J’ai dormi comme un ange sans m’apercevoir de son départ au matin.
    
    o-o-o-o-o-o-o
    
    Nous entendons le bruit du moteur bien avant que le véhicule ne franchisse le portail. Malgré cela, Anaïs et Marie sont prises au dépourvu et cherchent en hâte de quoi couvrir le bas de leur corps. Leur réflexe brusquement retrouvé, d’anciennes pudeurs nous amusent. Il n’y a rien, bien sûr, pour cacher un minou, sinon un dossier de fauteuil vers lequel elles se précipitent.
    
    — Hé, là, mes chéries, intervient Janine en les rattrapant au vol. De toute façon, comme à nous, vous lui montrerez tout, à Bénédicte. Alors, autant commencer ici. Allez, hop !
    
    Mi-figue, mi-raisin, les filles se laissent pousser par le collet à la rencontre d’une petite bonne femme qui s’extrait de la voiture de Colette. Plutôt rondelette, châtain clair et mine ...
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