1. Huit femmes


    Datte: 24/12/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, inconnu, vacances, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, ffontaine, Masturbation fdanus, uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... enjouée, elle ne correspond pas vraiment aux canons fantasmés d’une domina. Quoique, à la réflexion, Martine et Colette non plus. Seule Janine ex-Gwladys pourrait y prétendre. Mais j’ai appris à me méfier de la première impression. Mon premier séjour ici m’a vaccinée là-dessus.
    
    Pendant que ses accompagnatrices se débattent avec ses bagages, Bénédicte claque la bise à Marie et Anaïs comme si elle les avait toujours connues. Sans s’embarrasser de leur air ahuri, elle se recule pour les considérer de haut en bas, les sourcils froncés et le regard critique.
    
    — Mignonnes, tes nouvelles novices, concède-t-elle enfin à Janine. Tu reprends le métier en douce ? C’est de la concurrence déloyale !
    
    Son sourire dément l’agressivité de sa remarque et la fougue du baiser qu’elle échange avec la supposée concurrente achève de dissiper le doute.
    
    — Bienvenue, ma chérie, l’accueille Janine en l’enlaçant. Tu as fait bon voyage ? Ces deux jolies coquines sont Anaïs, la protégée de notre Colette, et Marie, celle de Chantal.
    — Pas des novices, dis-tu ? Dommage…
    — Non. Pas encore, qui sait ? Viens, que je te présente Chantal.
    — Enchantée de vous connaître, Chantal. Vous êtes ravissante. Colette a bon goût, comme toujours ! Je peux vous embrasser ?
    
    Ah bon ! Je dois être encore attirante, après tout : Colette, et Marie, Anaïs aussi, les trois autres amies de Colette… Ah, j’oubliais la gendarme et les deux femmes de la plage. Et maintenant Bénédicte. Je suis si surprise de son verdict ...
    ... à l’opposé de mes craintes que je ne pense pas à lui répondre. Elle me regarde avec un petit sourire narquois.
    
    — Oh oui, bien sûr. Volontiers ! Embrassons-nous, crié-je presque.
    
    Elle me presse si fort contre elle que je sens à la fois ses seins qui s’écrasent sur ma poitrine nue et l’humidité de son chemisier sur ma peau. Sa joue est curieusement fraîche contre la mienne. (J’ai dû rougir !) Les senteurs de son cou taquinent mon nez d’acides fragrances de sueur et de douces odeurs d’agrumes. Cette fille sent bon, même après une nuit de voyage en train. Mon frisson n’est plus de honte, mais d’excitation. Je la serre à mon tour, comme si je voulais l’écraser sur moi.
    
    Le tissu aux épaules est mouillé sous mes mains, sur les reins, c’est pire. Je n’ai pas rencontré de signe de soutien-gorge en parcourant son dos. Elle caresse le mien en descendant lentement jusqu’à mes fesses dont elle s’empare et en évalue la plasticité.
    
    — Joli cul, souffle-t-elle dans mon oreille. Apprécie-t-il les fessées ?
    — Entre autres, ai-je le culot de murmurer.
    — Hum ! Prometteur…
    
    Un rire discret suit, qui me rappelle celui de Colette, en moins cristallin cependant, et ajoute à ma confusion. Drôle d’impression que d’être palpée comme une jument à l’encan, mais qui se mue en trouble quand le pan de sa jupe-culotte se pousse entre mes cuisses. Elle n’a pas cherché à prendre ma bouche, elle ne m’impose que cette accolade prolongée. Pourtant, je commence à mouiller. Ma chatte épouse un muscle ...
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