1. Maladie d'amour


    Datte: 17/12/2024, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, Collègues / Travail nympho, campagne, essayage, parking, collection, caresses, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, totalsexe, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... étalait ses formes généreuses à ce public pervers. Avec une badine extraite d’un fagot, mon père se mit à lui crier « danse, danse… » lui fouettant les pieds et les mollets. Les autres frappaient dans leurs mains, alors la pulpeuse blonde se mit à agiter ses appâts en cadence, ballottant son fessier et sa poitrine aux nez des trois cochons. Ses gestes avaient une certaine grâce, elle me faisait penser à ces tableaux que nous regardions en cachette avec ma sœur dans un dictionnaire, toutes ces vénus et autres femmes nues aux formes généreuses. De nouveau, les grosses mains rugueuses et calleuses se tendirent, et là, rien ne les arrêta. Ils pétrissaient ce qui était à leur portée, fesses, hanches, cuisses, sans douceur ni précautions.
    
    Recroquevillée dans ma cachette et tremblante comme une feuille, j’avais peur d’être découverte. Je trouvais ce traitement ignoble et j’aurais voulu crier pour sauver Jana. Mais en même temps, il se passait quelque chose de bizarre en moi : ce frisson que j’avais déjà ressenti se prolongeait depuis de longues minutes déjà et le bas de mon ventre me brûlait, comme si le foyer sur lequel j’étais assise était allumé. Et je sentis aussi quelque chose d’étrange : alors que je n’avais pas envie de faire pipi, j’avais l’impression qu’un liquide s’écoulait et mouillait ma culotte. Du sang ? Allais-je avoir « mes affaires », comme on disait chez nous ? Je glissai ma main jusqu’à ma culotte, en mettant mon doigt dans le rai de lumière qui entrait dans ...
    ... ma cachette je vis bien qu’il était mouillé mais pas rouge. Ouf ! Mais rien que le fait d’avoir touché ma culotte m’avait comme électrisée ; ma main y retourna tout naturellement et se mit à frotter doucement. Mes doigts exploraient mon intimité me donnant d’incroyables sensations. Je me mordais les lèvres pour ne pas gémir, mais j’entendais clairement sous cette voûte le clapotis que faisaient mes doigts dans mon bas-ventre tout baveux. J’eus d’autant plus peur d’être découverte qu’ils étaient presque silencieux maintenant. L’un d’eux ralluma la radio et je me dis que son bruit couvrirait ma retraite. Je regagnai vite ma chambre silencieusement et me remis à me tripoter sous les draps, plus tranquille pour soupirer et gémir un peu. Ma mère, si elle m’entendait, penserait que je faisais un rêve. C’est ainsi que je me masturbai pour la première fois mais pas la dernière, ça devint quotidien.
    
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    J’en suis à ma sixième cigarette, me demandant toujours si c’est cet épisode-là qui m’a rendue folle de sexe à ce point, ou si je suis comme ma sœur et que nous tenons ça toutes les deux de mon cochon de père. Pas de ma mère en tout cas, car jamais je ne l’ai vue ou entendue dans des situations équivoques, même pas la nuit avec mon père. Après tout, peut-être qu’elle, elle n’aimait pas du tout le sexe, comme beaucoup de femmes mariées plus ou moins par arrangement à cette époque-là en campagne, et donc c’est peut-être aussi pour ça que mon père avait besoin de satisfaire ses ...
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