1. Maladie d'amour


    Datte: 17/12/2024, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, Collègues / Travail nympho, campagne, essayage, parking, collection, caresses, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, totalsexe, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... hommes rentraient tous saouls, tellement que certains ne rentraient pas du tout, les filles se faisaient trousser pratiquement à la chaîne dans le petit jardin derrière l’église, et même les femmes mariées osaient danser sur la place ce soir-là, changeaient de cavaliers, et se faisaient peloter avec une complaisance certaine. C’est sûrement un peu pour ça que ma mère n’y allait jamais, surtout depuis qu’elle avait perdu sa fille aînée et qu’elle montrait une tristesse longue comme un jour sans pain.
    
    J’étais allée à la fête en vélo, promettant à ma mère de rentrer dès la fin du feu. Mon père y était parti aussi, emmenant Gustaw avec lui dans la camionnette, ce qui m’avait beaucoup étonnée : pourquoi emmener Gustaw, pourquoi Gustaw sans Jana qui aurait peut-être aimé la fête aussi ? Je ne comprenais pas, jusqu’au moment où je vis mon père et ses copains entourer Gustaw et lui faire boire tournée sur tournée. Lui les buvait toutes, eux se partageaient. Le feu fini, le pauvre garçon roulait presque sous la table et les autres continuaient de le faire boire, à l’exception de mon père et de deux de ses copains qui partirent ensemble dans la camionnette. Moi je sautai sur mon vélo et rentrai à la maison. Une bise rapide à ma mère qui dormait presque et je filai dans ma chambre où j’étais seule désormais. En fermant les volets, j’aperçus la camionnette arrêtée derrière l’écurie. Tiens, mon père était rentré par là avec ses copains ? Pieds nus, je descendis les marches en silence ...
    ... pour filer comme une ombre dans mon observatoire. C’était donc ça. Les trois hommes étaient là, entourant Jana et insistant pour lui faire boire une gnôle que l’un d’eux avait apportée. La pauvre fille refusa dans un premier temps mais, devant leur insistance, accepta d’avaler à petites gorgées un plein verre de table de cet alcool violent. Pourquoi voulaient-ils la saouler aussi, me demandai-je ?
    
    Puis ils se passèrent la bouteille et en burent chacun une bonne rasade. L’un d’eux alluma le vieux poste de radio, et ils se lancèrent dans un simulacre de danse, entraînant Jana qui avait maintenant le feu aux joues. Ils la firent tourner dans un sens puis dans l’autre, bras dans le bras, et la Polonaise commença même à rire avec eux. Elle titubait un peu quand ils s’arrêtèrent. Des mains détachèrent son tablier, d’autres la blouse qui lui servait de robe, ils la chatouillaient en même temps, elle riait bêtement ne sachant plus trop où elle était. Puis l’attache du grand soutien-gorge fut défaite et la grosse poitrine gicla hors des sangles, enfin libre, tombant certes par son poids important mais conservant une certaine allure dans ses nombreux rebonds. Elle perdit sa culotte l’instant d’après et apparut nue comme un ver au milieu des trois hommes qui s’extasiaient sur ses formes généreuses. Des mains commencèrent à la palper mais mon père, en maître de cérémonie, la fit grimper sur une chaise puis sur la table. Juste sous l’unique ampoule de la pièce, la pulpeuse Polonaise ...
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