1. Maladie d'amour


    Datte: 17/12/2024, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, Collègues / Travail nympho, campagne, essayage, parking, collection, caresses, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, totalsexe, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... que les poils se redressent. Ça me faisait des trucs dans le dos de les voir faire, mais en fait je ne voyais pas grand-chose à cause des plumes. Alors que « Bijou », il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir son énorme sexe plonger entre les fesses des juments. Une tonne de puissance pure au service de son énorme bite. Il y avait bien cinq ou six hommes pour essayer de le maîtriser avec des cordes grosses comme mes poignets, mais rien n’y faisait : quand il avait envie, la jument devait subir. Et les heures qu’on a passées avec ma sœur aînée, le menton appuyé sur la barrière de bois à l’entrée du champ, à attendre que le taureau grimpe sur une vache… Je n’ai plus de nouvelles de ma sœur, je ne sais même pas ce qu’elle est devenue. Une belle fille pourtant, avec qui je m’entendais bien. On partageait la même chambre. Des fois le soir, elle passait des heures toute nue à se regarder dans le miroir de l’armoire.
    
    — Tu les trouves beaux mes seins ? Et mes fesses, elles sont belles, mes fesses ?
    
    Ben oui, hein, je la trouvais belle ma sœur. Et puis dans le noir, quand on avait éteint, on se racontait plein d’histoires, pour se faire rire ou pour se faire peur. Mais un jour, elle ne voulut plus, et quand je lui demandai pourquoi, elle répondait avec des grands airs :
    
    — T’es trop petite, tu peux pas comprendre…
    
    Plus tard, j’ai compris, en effet. Ce n’était pas des puces qu’elle avait attrapées et elle ne se grattait pas pendant de longs moments en toussant ou ...
    ... gémissant. Elle se masturbait, mais moi je ne savais pas encore ce que c’était. Sauf qu’un jour je l’ai surprise dans le grenier à foin de l’écurie. Elle était toute nue, à quatre pattes et derrière elle il y avait Rémi, l’ouvrier, un garçon un peu simplet qui travaillait pour mon père. Il était tout nu aussi et il avait un engin, comme « Bijou » mais en moins gros, qu’il rentrait entre les fesses de ma sœur. En même temps, il lui tirait sur les mamelles comme s’il voulait la traire. Mais c’était pas une vache, ma sœur ! En plus, elle avait l’air d’aimer ça et lui disait : « Oh oui, vas-y, vas-y… ». Et puis ma sœur est devenue triste, elle s’est mise à grossir. Un jour Papa est entré dans une colère noire, il a hurlé, ma mère pleurait, moi je me suis blottie dans les bras de ma mère. Il avait une grande trique à la main, un peu comme le maître pour nous faire lire au tableau, mais là il tapait sur ma sœur :
    
    — C’est qui ? C’est qui le salaud ? Hurlait-il en frappant.
    — Rémi, finit par avouer ma sœur en sanglotant.
    — Quoi ? Ce pauvre abruti ? Il paie rien pour attendre. Mais comment t’as pu nous faire ça, hein ?
    — Je sais pas… Pourtant j’ai fait tout comme Mémé m’a dit quand j’ai eu mes « affaires »…
    — Qu’est-ce qu’elle t’a dit cette vieille chouette ?
    — Qu’il fallait faire pipi juste après pour pas en avoir… J’ai toujours fait pipi, Papa, j’te jure.
    — Ah tu parles. Pauvre imbécile. Nous voilà frais maintenant. Tu mets la honte sur toute la famille. Demain, tu prépares ta ...
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