1. Maladie d'amour


    Datte: 17/12/2024, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, Collègues / Travail nympho, campagne, essayage, parking, collection, caresses, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, totalsexe, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... sans être vue. Au fond de la cuisine, il y avait une grande cheminée, de ces cheminées de campagne, hautes, larges et peu profondes, avec au fond une porte de fonte qui ouvrait sur un ancien four à pain qui devait, à l’origine, utiliser le même conduit. Mais dans cette masure, le four à pain était en partie écroulé, inutilisé depuis des lustres, et la porte de fonte avait été cassée, il en manquait tout un angle. En ne déplaçant que quelques briques écroulées, je réussis à me glisser facilement dans le four compte tenu de ma petite taille de l’époque. Et par la porte ébréchée, j’avais une vue parfaite sur l’ensemble de la salle sans risquer d’être vue, étant dans le noir complet.
    
    Je vis donc mon père presque tous les jours venir satisfaire ses appétits de mâle avec cette pauvre Jana. Parfois, c’était très rapide. Il entrait, Jana comprenait et s’accoudait sur la table, il relevait sa jupe sur ses épaules, baissait sa grande culotte de coton au milieu des cuisses, lui-même ne défaisait que sa braguette, et il s’activait en elle comme le chien sur la chienne, sortant son gros mandrin au dernier moment pour se laisser aller sur ses fesses. D’autres fois, quand Gustaw était parti loin pour l’après-midi, il prenait son temps, mettait Jana toute nue, jouait avec ses gros nichons, l’obligeait à le sucer, l’asseyait sur la table et lui-même enfonçait son visage entre ses cuisses. Ça, Jana avait l’air de bien aimer parce qu’elle poussait des grognements et des couinements en ...
    ... levant les yeux au plafond. Et puis il se relevait, baissait son pantalon et son caleçon, et remplaçait sa bouche par son gros dard. Les jambes de la Polonaise battaient l’air, se refermaient en général sur les fesses de mon père, et elle râlait, soufflait et couinait comme une gorette. Et puis au bout d’un moment, mon père se reculait, levait bien haut les jambes de Jana et fourrait son gros appendice dans son petit trou qui était désormais bien plus large qu’avant. Là, il la bourrait comme un fou, elle couinait de nouveau, jusqu’à ce qu’il se crispe comme les cow-boys dans les westerns touchés d’une balle dans le dos. Il y restait un long moment, tout agité de soubresauts, et souvent il prenait Jana par les cheveux et la faisait s’accroupir pour le nettoyer avec sa bouche. Ce qui me faisait rire silencieusement c’est qu’à chaque fois le gros cul de Jana émettait des pets baveux quand elle se baissait, il y avait même des filets de liquide poisseux qui coulaient jusque par terre.
    
    Le pire fut certainement un soir de Saint-Jean. Au village, c’était la fête. Tout le monde apportait un fagot et on allumait un immense brasier au milieu de la place. Il y avait des ramées, ces bistrots de plein air, un orchestre sur une estrade, l’auberge sortait d’immenses tables dehors, les conscrits de l’année sautaient par-dessus le feu chacun leur tour, les autres déchiraient les tympans en soufflant dans des clairons… C’était LA fête du village, la soirée où tout ou presque était permis. Les ...
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