1. Maladie d'amour


    Datte: 17/12/2024, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, Collègues / Travail nympho, campagne, essayage, parking, collection, caresses, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, totalsexe, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... femme, Jana, une grande et forte blonde au visage très doux et aux formes généreuses. Mon père leur a rafistolé une petite maison derrière les étables, où il logeait les saisonniers l’été, pour les moissons. Gustaw ne parlait presque pas français.
    
    — C’est moins facile pour les donzelles, disait mon père, heureusement qu’il a Jana pour se vider les couilles.
    
    Pourtant, la barrière de la langue ne devait pas être infranchissable car souvent mon père envoyait Gustaw dans les champs les plus éloignés, juste de l’autre côté de la rivière mais il fallait faire presque dix kilomètres pour passer le pont. Et je le voyais alors rentrer dans la petite maison derrière les étables. Au début, je les entendais crier et je croyais que Jana avait fait une bêtise, mais non car c’est surtout elle qui criait. Dans ce cas-là, je ne prenais pas le risque de me faire repérer par mon père. Et puis plus tard, ça ne criait plus, c’était devenu une sorte d’habitude. Alors je me suis approchée et j’ai glissé un œil dans l’angle de la fenêtre. Jana était couchée à plat ventre sur la table, sa jupe remontée sur le dos, et mon père lui faisait comme son percheron entre ses grosses fesses blanches qu’il claquait avec ses grandes mains calleuses. Jana pleurait, les doigts crispés sur le rebord de la table. Et mon père commentait ses exploits :
    
    — Putain ce que t’es bonne, ma grosse polak ! Hummm ! Ça, c’est de la femelle de premier choix. Ma bite rentre là-dedans comme dans du beurre. Pleure pas, ...
    ... t’inquiète pas ma cocotte, j’vais pas t’engrosser. Je vais te balancer la purée dans ton p’tit troufignon…
    
    Et joignant le geste à la parole, il sortit son braquemart de la femme. Oh là là ! Qu’est-ce qu’il était gros ! Au moins deux fois celui de Rémi, me disais-je. Il le plaça en face de son petit trou du cul, une petite rondelle toute plissée et toute rose. Jana pleurait plus fort et semblait supplier dans sa langue natale. Inutile, mon père ne comprenait pas le polonais. Il donna un grand coup de reins en empoignant les hanches grasses. Jana glapit et pleura de plus belle. Mon père donna encore une bonne douzaine de coups de reins en braillant :
    
    — Ah ce qu’il est bon ton trou du cul, grosse salope ! Ah ce qu’il est serré ! Ah je jouis…
    
    Un moment plus tard, il se retira et des pets sortirent du cul de Jana en faisant des bulles. Ça fit rire mon père qui lui flatta la croupe comme à une jument. Je me sauvai juste à temps pour qu’il ne me voie pas en sortant. Je revins à de nombreuses reprises, surtout pendant les vacances, observer mon père dans son rôle d’étalon avec Jana. C’est vrai que, comme lorsqu’il m’emmenait avec « Bijou », à chaque fois j’étais troublée par ce spectacle. Chaque fois, il y avait quelque chose en moi qui me tortillait délicieusement les boyaux, des frissons qui me parcouraient l’échine. Et puis les spectacles et les distractions ne sont pas si nombreux à la campagne. J’avais fini par trouver un poste d’observation idéal, d’où je pouvais voir ...
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