1. Maladie d'amour


    Datte: 17/12/2024, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, Collègues / Travail nympho, campagne, essayage, parking, collection, caresses, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, totalsexe, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... dubitative, n’ayant jamais eu de bons résultats avec ces amants de plastique, je dus me rendre à l’évidence : un gode manœuvré par une main experte peut vous envoyer directement au paradis. Et elle m’en enfila plusieurs, comblant mes trous et mon bouton de vibrations insensées, tandis qu’elle m’embrassait à pleine bouche en titillant mes pointes de seins.
    
    Vers deux heures du matin, je retombai totalement épuisée, dans une mare de sueur, le bas-ventre devenu intouchable car trop sensible après autant de sollicitations. Enfin, j’avais joui, merveilleusement joui, comme jamais depuis des années. C’est le moment que choisit Julia pour lubrifier et s’enfiler dans le sexe un drôle d’engin qui ressemblait à deux godes reliés entre eux, avec au milieu comme une paire de testicules, qui la fit aussitôt ressembler à un homme en érection. Et Julia me baisa avec cet engin de silicone, dur et doux à la fois, palpitant et vibrant mieux qu’un vrai, transmettant les mêmes sensations à l’une comme à l’autre. Elle baisa, rebaisa et sodomisa mon corps hypersensible, sans forces et soumis, jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme. J’en avais encore eu une demi-douzaine, je ne comptais plus. La nuit pâlissait quand nous nous endormîmes dans les bras l’une de l’autre, toujours liées par ce fantastique engin qui palpitait encore avec les contractions de nos vagins, me tirant sporadiquement encore quelques soubresauts. Heureusement que nous étions dimanche. Nous nous réveillâmes vers midi, ...
    ... j’étais encore éblouie et un peu hébétée de ce qui venait de m’arriver, ayant du mal à y croire. Nous prîmes ensemble un bain bouillonnant dans sa grande baignoire ovale, où elle en profita pour me laver minutieusement tout le corps, en tirant des plaisirs nouveaux et insoupçonnés, tandis que je pouvais contempler notre couple dans les nombreux miroirs couvrant les murs et le plafond. Nous grignotâmes ce qu’elle put dénicher dans ses placards, quelques biscottes avec une boîte de foie gras, arrosées d’un vin doux de muscat qui me monta vite à la tête. Je voulus donc essayer de lui rendre une partie du plaisir qu’elle m’avait donné, avec toute la maladresse d’une première fois. Mais elle m’arrêta vite :
    
    — Je t’en prie, ne te fatigue pas. Mon plaisir n’est pas là, même si j’apprécie beaucoup, c’est de t’en donner à toi, de te faire vibrer et jouir avec mes caresses…
    — Tu es sûre ? Laisse-moi apprendre, essayer…
    — Non vraiment, j’en suis certaine et je te l’assure. Laisse-moi ce rôle-là, c’est celui que je préfère, et avec quelqu’un d’aussi réceptif et sensible que toi, je suis comblée.
    
    Je m’abandonnai donc à ses mains expertes et repartis pour tout un après-midi de plaisirs extraordinaires. Plus elle jouait avec mes sens et plus elle apprenait à me connaître, plus le plaisir était dévastateur. Ravagée d’orgasmes successifs, je décidai malgré tout de rentrer chez moi à la nuit tombée pour la laisser se reposer, elle travaillait le lendemain. Je conduisis comme un zombie, ...