Maladie d'amour
Datte: 17/12/2024,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
couleurs,
Collègues / Travail
nympho,
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caresses,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
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totalsexe,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... tu me le dis…
— Bon, on en reparlera. La journaliste qui a écrit ça est une ancienne… amie, qui ne peut rien me refuser. Je lui ai tout raconté par téléphone et voilà.
— Eh bien, ça semble efficace.
Puis, après un long moment de silence et de réflexion, je poursuivis :
— Oui, en effet, je me souviens maintenant de ton regard la première fois qui m’avait troublée. Tu matais mes seins et mes fesses un peu comme le font les hommes.
— C’est vrai que j’ai flashé sur toi tout de suite. Tu es vraiment sexy et très à mon goût.
— … (Je ne sus que rougir…)
— Ça te gêne ?
— Pas vraiment, ça m’étonne surtout. Tout simplement parce que je n’ai jamais pensé sexuellement à une femme. C’est pas mon truc.
— On dit ça tant qu’on n’a pas essayé. Qui peut mieux donner du plaisir à une femme qu’une autre femme ? Penses-y. Et elle se leva, paya l’addition et me laissa perdue dans mes pensées.
Les jours suivants, les nuits surtout, je repensais à Julia, c’était son prénom, à sa silhouette élégante, à ses manières masculines et à ce qu’elle m’avait dit. Le fait de pouvoir susciter du désir chez une femme me fascinait. En dehors de quelques modèles de magazines, je n’avais vu que deux femmes nues dans ma vie : ma sœur, mais c’était ma sœur et je n’avais pas ressenti d’attirance physique pour elle, et Jana la Polonaise plantureuse. Je me demandais si, ce fameux soir où je mouillais tant tandis qu’elle dansait sur la table, j’aurais voulu être à sa place, livrée aux désirs des hommes, ...
... ou bien parmi ces hommes, désireuse de me repaître de ses formes et de ses chairs tendres… Je fis un affreux cauchemar dans lequel c’était moi qui dansais sur la table, et les mains de Jana, de ma sœur et de Julia se tendaient vers moi pour s’emparer de mes trésors. Je me réveillai en sueur, très troublée, et après un grand verre d’eau fraîche je finis par me dire que je ne risquais pas grand-chose à tenter une expérience sexuelle avec Julia.
Nous nous retrouvâmes chez elle, un grand appartement ancien haut de plafond, orné de boiseries sculptées et meublé d’un savant mélange d’ancien et de moderne. La classe. J’étais excitée et traqueuse comme si j’allais perdre ma virginité. Julia me déshabilla lentement, profitant de chaque nouveau coin de peau découvert pour le caresser et l’embrasser. Puis je m’offris à elle sur son immense lit king-size. Après quelques instants, mon corps se tendait, se tordait et vibrait, et je compris enfin le secret de Robert : il caressait comme une femme, cherchant mon plaisir et non le sien, car son plaisir était mon plaisir. Quand la bouche de Julia se posa sur mon sexe, je sus que j’étais à elle. Sa langue et ses doigts sur mon clitoris, dans mon vagin et dans mon anus m’emportèrent dans une cascade d’orgasmes successifs, plus puissants encore que ceux que me donnait Robert, tant ses attouchements étaient subtils et précis. Puis elle s’empara d’un godemiché, parmi toute une collection dont elle disposait sur une desserte roulante. A priori ...