Pépète.
Datte: 21/07/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
Auteur: Dickleby, Source: Revebebe
... le ramassa. C’est alors qu’elle crut à une nouvelle pique, en parlant des clodos auxquels je voulus la comparer.
Jamais je n’ai vu Pépète si déchaînée, si colère, si hors d’elle-même. De toute évidence, une raison extérieure était liée à tous ces incidents, sans quoi, les conséquences ne pouvaient être si graves. Mais j’étais ensorcelé, et je ne vis rien.
J’espérais quand même me raccommoder, sans prévoir ce qui arriva à l’approche du bac, lorsque, sous l’effet de la chaleur, les filles vinrent en tenues plus légères. Naturellement, Fanny se fit encore plus remarquer. Je la vis un jour porter un t-shirt qui moulait si parfaitement ses seins qu’on voyait les pointes dures percer.
Mon désir d’elle fut alors atroce, un désir à ne plus pouvoir me contenir.
J’étais assis comme un cancre au fond de la classe, et Fanny à ma gauche obliquement deux rangs plus bas, de sorte qu’elle m’offrait un angle imprenable sur la saillie qui déformait son t-shirt, son t-shirt si plein de ses seins.
Son corps se couvrit alors d’une légère transpiration. Elle se pencha sur son devoir, en passant négligemment la main sur cette fine couche de sueur qui tombait dans la vallée de ses seins, et sa poitrine alors se souleva, palpitante. Maintenant, la forme se dessinait encore plus nette, lourde, et avec le bout qui pointait, on aurait pu imaginer sans erreur la largeur de ses aréoles, et toutes choses que mon imagination aiguillonnée au fer rouge mit à nu. Car en effet, depuis le bout ...
... du sein, Fanny m’apparut telle qu’elle devait être dans sa nudité.
Je matais effrontément. Depuis un moment, je sentais une douleur persistante dans mon bas ventre. Cela commençait à devenir inquiétant. La gêne atteignit des proportions inhabituelles, énormes. Ma bite, plus dure qu’une barre de fer, me torturait à un point tel que je m’agitai comme un enragé sur ma chaise, ne tenant plus en place.
Il faut avoir une idée pénible d’un malaise arrivé à son degré ultime pour sentir la goutte déborder, c’est ce qui arriva. Deux ou trois mouvements rapides du bas ventre, de légers mais nerveux coup de reins, presque imperceptibles mais qui s’avérèrent suffisants, venaient de faire gicler quelque chose dans mon caleçon.
L’orage était passé. L’idole redevenait humaine et ses perfections, pour un moment, perdaient tout attrait. Ma ferveur cependant à peine retombée, un sentiment plus réel d’inquiétude s’empara de moi, et j’eus l’impression franche d’être observé. Les nerfs à vif, je jetai un coup d’œil paniqué autour de moi. Mais je me trompais : un silence studieux régnait. Mes camarades appliqués à leur composition n’avaient pu me voir. Ouf ! Je respirai.
L’exploit fut donc consommé sans heurt, et malgré mon devoir tout raté, je sortis de la classe en sifflant, très satisfait de moi-même. Ma bonne humeur tombait bien. Je vis Pépète assise sur un banc de la cour, relisant son brouillon. Tout guilleret, je m’avançai vers elle, et l’air de rien, avec un sourire narquois, je ...