1. « Josy » : La petite salope chez Bebel, le menuisier ébéniste. Épisode 20


    Datte: 02/12/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... respectaient énormément, mais surtout le craignaient. En sa présence, s’il avait dit : « Ici je ne veux pas d’histoires ou chez mon ami, ne vous avisez pas à vous battre. » toutes les petites crapules ne s’aventuraient jamais à lui désobéir : « Je sais que tu vas ouvrir une discothèque, préviens-moi, je passerai. »
    
    J’étais en admiration, en quelques minutes, ce type me faisait de l’effet, et je sentais qu’il était également attiré. Lorsqu’il me parlait, il me prenait souvent la main ou mon poignet, il me souriait beaucoup. Il m’avait littéralement subjugué. Nous avions fini la discussion, nos mains étaient l’une dans l’autre ou nous caressions l’avant-bras et nos jambes s’étaient entremêlées. Toutefois, je ressentais chez lui une petite réticence et lorsque je lui dis carrément qu’il me plaisait, il me sortit : « Moi aussi, je suis en train de craquer sur toi. Mais tu pourrais être ma fille voyons ! »
    
    « Ça ne me gêne pas, tu sais, mais c’est tout à ton honneur. » J’avais des difficultés à respecter son choix. En redescendant la rue vers son atelier, avec mes hauts talons, j’étais presqu’aussi grande que lui mais je me sentais toute minuscule à ses côtés. Je lui repris la main et en inclinant ma tête sur son épaule, je lui dis le plus naturellement du monde : « Écoute Bebel, j’ai envie que tu me fasses l’amour. » Il me déposa un bisou sur mes lèvres et se tu jusqu’à destination. Devant la devanture, Jean-Paul sortit une phrase qui me marqua beaucoup : « Sache que je ...
    ... suis marié et père de famille, je n’ai pas trop envie de tromper ma femme. Je vais faire une exception, tu me plais trop. » Dit-il avant de me refaire un petit bisou.
    
    À 17h10 dans l’atelier, tous les ouvriers étaient déjà partis, il me prit la main et m’attira dans son bureau, où il poussa mon dossier, me prit par la taille et me souleva comme une plume pour me retrouver assise devant lui. Je lui enlevai les boutons de sa blouse tandis qu’il retira les quatre de mon corsage pour me déposer plusieurs bisous dans le cou et sur mes épaules, tout en me soupesant mes deux seins sensuellement. Mes mains quant à elles, se promenaient sur son torse puissant jouant dans ses poils. Soudain, il se recula brusquement, comme si je l’avais brûlé et en ouvrant le dossier :— Tu m’as bien dit que tes arrière-grands-parents habitaient à Guerville aux Bois ?
    
    — Oui ! Mais ils sont décédés depuis longtemps. Qu’est-ce qu’il te prend ? Viens continue !
    
    — Oh putain…Non !
    
    Dit-il en lisant le devis établi par son responsable où mon nom y figurait : « Mais tu es la fille de Colette. » Lui confirmant ses dires, il poursuivit me disant que ça ne l’étonnait pas, qu’il lui avait bien semblé que je lui faisais penser à quelqu’un : « Tu as la même poitrine que ta mère à l’époque, je la connaissais par cœur, c’est de ta mère dont j’étais follement amoureux. » Il était complètement affolé, il refermait sa blouse, tout en me demandant ma date de naissance. Il ne me disait plus un seul mot, je ne ...
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