1. « Josy » : La petite salope chez Bebel, le menuisier ébéniste. Épisode 20


    Datte: 02/12/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    Pendant les deux derniers mois de l’année 76, je n’avais pas eu, une seule minute à moi. Avec la guinguette qui remplissait le restaurant pour l’hiver, le retard sur le chantier, les négociations avec le brasseur désirant placé un bar de trente mètres de long à l’intérieur, me certifiant que plus le comptoir était grand, plus les clients consommaient, l’inauguration de la discothèque à préparer et cette dérogation, j’étais débordée. J’avais pourtant pris le temps de faire la connaissance d’un type qui par la suite me sera fort utile, j’étais vraiment née sous une bonne étoile. Mais je vous reparlerai un peu plus tard de ce fameux Jean-Paul.
    
    Patrice mon bel et nouvel amant, vivait seul dans sa grande maison à Facourt/Drèze, néanmoins il avait une maitresse régulière, une jeune femme de son âge, divorcée également, ayant deux enfants. S’ils se voyaient très souvent, celle-ci étant mère de famille, ne résidait pas chez son amant. Lui travaillait dans une société chimique spécialisée dans les travaux routiers et les aménagements urbains. Étant Directeur de l’agence, il avait la possibilité d’aménager à sa guise son emploi du temps. Il avait choisi ses permanences en mairie, les samedis matin et les mercredis de 14 à 16 h. Ce qui nous permettait de nous rencontrer chez lui vers 16h30.
    
    Nous couchions ensemble qu’une fois par semaine, cependant nos baises étaient intenses, sauvages et idéalement jouissantes. J’étais enfin heureuse de pouvoir trouver un équilibre dans ma vie ...
    ... sexuelle avec Jean-Lou qui me satisfaisait le dimanche soir et une fois par semaine, parfois deux. Sans compter mes petits extras avec de beaux inconnus lorsque j’en rencontrait un au hasard de la vie. Avec Patrice et mon futur mari, nous poursuivions également nos discussions sur notre future collaboration à la mairie car ils m’avaient convaincu de me présenter sur la liste d’opposants.
    
    À l’occasion de la fête des associations, prévue le samedi 22 janvier 77 au soir, Fréderic François venait chanter sous un grand chapiteau de 400 m2. En retirant la surface de la grande scène et le couloir de sécurité, celui-ci pouvait recevoir au maximum 680 personnes. Seulement d’après les demandes de réservations qui ne cessaient d’affluer, cela ne suffisait sans doute pas, ils attendaient près de mille personnes. Il fallait donc, soit de le jumeler ou en prendre un plus grand. Le prix déjà assez élevé, serait trop important pour faire de réels bénéfices :— Si vous voulez les aider, êtes-vous en mesure de financer l’excédent de la location initiale ?
    
    Jean-Lou se leva et s’esclaffa, sans même m’avoir consultée au préalable : « Génial, nous avons même mieux à leur proposer, « La Grange à Josy » est libre à cette époque, elle peut contenir ces 1000 spectateurs debout. Nous leur permettons de faire ce concert gratuitement à l’intérieur. » Je trouvais qu’il y était allé fort dans sa générosité, Patrice, quant à lui était plus qu’heureux, cela permettrait aux associations de bénéficier de la ...
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