Les malheurs de Clotilde Ch. 11
Datte: 25/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... quatre pattes. Mais déjà le premier de mes nouveaux violeur arrive. Lui est nu, je peux voir un sexe dur de taille normale. Il se colle contre moi, me remonte la jambe droite. Il me viole comme un lapin. Le second, se colle contre mon ventre, il me baise comme ça, m'écartant simplement les jambes pour pouvoir fourrer son sexe dans mon vagin. Puis un suivant, en pantalon et sexe à l'air arrive. Lui aussi me viole de la même façon et m'enfile aussi comme un lapin. Sans doute est-ce le spectacle que je leurs ai donner, en dansant sous la cravache, qui a mis le feu dans le sang des mâles y assistant ? En tout cas, lui non plus ne dure pas longtemps en moi. Vidant ses burettes en grognant.
Il se reboutonne en grognant, car son pantalon est plein du sperme qui sort de mon sexe. Greg, rigolant et violant en levrette, la plus jeune de ses filles, lui dit de s'approcher et que la jeune violée par lui va le lui dégraisser en le nettoyant de sa langue. Mon violeur ne se le fait pas répéter deux fois. Ensuite, Meyer me détache. Mes jambes flageolantes et faible ne me tiennent pas. Je m'écroule au sol, un autre spectateur se précipite alors sur moi. Pas pour m'aider, non, juste pour me violer. A peine m'a-t-il remplit, qu'un autre amateur est déjà à cheval sur moi. Je dois prendre des positions moins banales que celle du missionnaire. Lui s'agenouille derrière moi, enfin de contempler mon dos massacrer par le cuir, zébré de traces rouges, violettes, profondes, certaines ouvertes comme ...
... mon sexe et saignant.
La main d'un des violeurs suivant, réveille mes blessures, en me griffant. Tout en marmonnant et protestant que :« Tu es une salope qui ne remue pas assez du cul quand on la saute. ».
La chair travaillée par les ongles long et aigus, je remue enfin comme il le souhaite, en sanglotant et hurlant de douleur. D'autres suivent, inépuisable, sans fin. Me défonçant uniquement le ventre. On me détache enfin, mais le flots de pénis qui pénètre ma vulve est sans fin. D'autres hommes sont arrivés, ils sont au moins trente autour de moi. Je suis prise dans toute les positions possible, souvent en levrette, c'est comme cela qu'ils vont le plus loin, me font le plus mal. Ils dégorgent des litres de spermes dans mon utérus. Même si certains ont éjaculés sur mon corps, ou pire, pour m'humilier, sur mon visage.
Un autre est plus exigeant encore. Il veut et me fait m'empaler sur son très long sexe. Couché sous moi, il se laisse faire. Je dois alors m'accroupir alors au-dessus du braquemart, dressé comme un mat. Je le guide de la main, afin que la grosse tête cramoisie du pénis glisse dans mon sexe. Dieu merci, mon ventre à été tant arrosé, qu'il pénètre mon vagin comme du beurre. Pour moi, le frottement dans mon sexe est moins irritant. Mais mon conduit étant trop lubrifié par la semence de mes trop nombreux violeurs, le frottement est moins fort dans mon sexe pourtant encore fort serré. Et mon violeur, comme ses successeurs, s'attardent. Sauf bien entendu, ceux ...