1. Les malheurs de Clotilde Ch. 11


    Datte: 25/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... que cela excite de forniquer dans le sperme d'inconnus. Après lui, beaucoup d'autres m'obligent à m'empaler sur eux. Si bien que je dois tout faire. Et les gestes de l'amour, ou plutôt dans mon cas, du viol me coûtent. Car une crampe serpente dans un mollet, tandis que la fatigue rend les flexions rend rythmées de mes cuisses difficiles. Une épaisse sueur mélangée au sperme, colle à ma peau. Des gouttes coulent de mon front, le long de mon nez, se mélangent à mes larmes, et se répandent sur la poitrine imberbe de ma monture mâle actuel. Il dure donc une éternité dans mon sexe, m'irritant atrocement. Je n'en peux plus, ma chatte me brûle, comment autant d'hommes peuvent prendre du plaisir à me torturer ???
    
    Quand l'amateur de sport équestre à lâcher sa purée, la foule de violeurs m'est entièrement passée dessus. Mais les premiers reviennent à la charge, en voulant plus, beaucoup plus, toujours plus. Les deux suivants entreprennent de me prendre en sandwich. Je dois enjamber un type, une grosse queue s'enfonce alors dans mon vagin gluant jusque au joyeuses. Je sens et cela me désespère, un second nœud tâtonner dans la raie de mon cul, trouver ma rosette pas encore utiliser jusque-là, la forcer et s'enfoncer dans mes reins avec un élan implacable. Je gémit, je pleure encore plus fort, je hurle, je me plains, tandis que au travers des parois fine de mes muqueuses génitales et culière, les deux pénis se frottent, comme si ils se faisaient l'amour.
    
    Un troisième trouve le moyen ...
    ... le plus pratique de me faire taire. Comme l'horrible douleur ouvre et tord mes lèvres, il presse au centre de celles-ci, en guise de bâillon, un gros pénis court mais de calibre imposant. Bon gré, mal gré, je dois avaler l'inconfortable sucette, et laisser traiter ma bouche, de la même façon que les deux autres s'occupent de mon vagin ou de mon anus. Avec violence et brutalité. Je suis prise par les trois en même temps, qui me défoncent, me massacrent de leurs engin devenus armes, non de destruction massive, mais de destruction massivement sexuel.
    
    A trois, ils me possèdent ainsi, longuement, durement. Je dois subir successivement, leurs trois orgasmes, avalant leurs trois spermes, par les trois trous. Sans aucune pause, ils se succéderont en moi. D'abord par trois, puis par quatre, quand une bite de plus viendra se ficher, en plus de celle occupant déjà les lieux, soit dans mon vagin, soit dans mon anus. A des moment, il y en aura six, en branlant alors, deux de plus, un pour chaque main. Mais même après ça, je n'en ai pas fini. Mon viol à répétition dure toute la nuit, et tout le lendemain, jusque à tard le matin du surlendemain. Ces monstres se reposent à tour de rôle, pas moi. Je finis par tomber dans un état de total inconscience, qui ressemble aussi bien au coma qu'au sommeil. Par moment, je reviens à moi, avec toujours plusieurs sexes dans mon corps, pour replonger quelques instants plus tard dans le néant. Je ne suis plus vivante, je ne suis qu'une poupée gonflable ...
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