1. Les malheurs de Clotilde Ch. 11


    Datte: 25/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... en soi, surtout si elle n'est pas désirée et que c'est celle de son géniteur. Il reste quelques instants immobile, avant de reprendre ses coups de reins, faisant de nouveau hurler Emma.
    
    Moi :
    
    Je ne peux pas vous dire combien de temps ils m'ont violée, tous les trois, mais cela a duré plusieurs heures. Je ne sais pas si je me suis endormie, ou si j'ai sombré dans l'inconscience. En tout cas, je sais comment je me réveille. Quand Greg lâche le frein de la poulie qui tient la chaîne me tenant droite. Tirée vers le bas par le poids, pourtant léger, de mon corps. Je m'éclate comme une merde sur le sol. La douleur me réveille. Ils sont tous les trois autour de moi. Mes violeurs du premier jour. Greg, Jérôme et Meyer.
    
    - C'est l'heure de ton petit-déjeuner, la pute.
    
    « La pute », je m'habitue à mon nouveau prénom. J'ouvre la bouche. Greg passe le premier, son urine ne tarde pas à jaillir. Une fois qu'il a fini, je le suce, jusque au bout. Puis je fais pareil avec les deux autres.
    
    Une fois tous passer, Greg remet la chaîne en tension. Seul le bout de mes orteils touche le sol. Mais au lieu de me prendre comme je m'y attends, ils sortent. Je ne reste pas seule longtemps. Environs quinze minutes plus tard, ils reviennent. J'agrandis les yeux d'épouvante. D'abord Greg et Jérôme tiennent une cravache dans les mains. Mais le pire, une quinzaine d'hommes sont avec eux. Ça ne fait aucun doute, tous sont là pour moi. Je vais dérouiller. Greg s'approche, me caresse la ...
    ... joue.
    
    - La pute, tu vas connaître ton premier gang-bang !
    
    Je ne connais pas ce mot « gang-bang ». Mais je ne me fais aucun doute sur ce que c'est. Un viol collectif. Tous vont me prendre, alors j'ai peur pour mes orifices déjà vraiment malmené par tous ceux qui m'ont violée jusque ici.
    
    Greg se met devant moi, Jérôme derrière moi. Alors la punition peut commencer. Ils me cravachent le corps. L'un à la suite de l'autre. Frappant surtout mes fesses, le creux de mes reins, mon ventre, mon sexe. Sur le devant, mais aussi entre les cuisses. Je hurlent comme une folle, me débat, tourne sur moi. Mais ils frappent méchamment. Faisant estafilade sur estafilade à mon corps parfait, faisant éclater ma peau si douce... Mais s'arrêtant juste avant que cela saigne. Il ne faudrait pas non plus m'abîmer durablement. Cette fois, quand je m'évanouis, ils me réveillent en badigeonnant mes blessures de vinaigre. Je hurle. Ils reprenne alors le cours de leurs coups de cravaches. Ne s'arrêtant que lorsque mon corps est couvert des épaules aux pieds de traits boursouflés. Finalement ils se sont lâchés, pour mon plus grand malheur, dépassant la limite qu'ils s'étaient fixé.
    
    La femme et les filles de Greg sont là. Elles sucent et branlent les spectateurs durant tout le spectacle de mon cravachage. Puis quand ils arrêtent enfin, elles vont sucer Jérôme, Meyer et Greg. Je remarque que elles aussi ont un collier de chien autour du cou, mais que surtout, comme moi, elles ne se déplace seulement qu'à ...
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