Les malheurs de Clotilde Ch. 11
Datte: 25/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l'aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c'est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.
Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d'accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, sont plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.
Pour finir, les quatre premiers chapitre de cette histoire sont parus entre décembre 2018 et mai 2019. Si vous voulez vous rafraichir la mémoire...
Moi :
Ils m'ont violée toute la journée. M'arrachant ...
... hurlement sur hurlement. Me torturant de leurs engins, même si celui de mon père fut le pire des deux. À deux dans ma bouche, à deux dans mon vagin, à deux dans mon anus. Je n'ai été qu'un jouet sexuel pour eux. Mon père lui, ne m'a pratiquement pris que par la chatte, me sodomisant rarement... mais le faisant quand même. Ils m'ont remplis de semence, sans aucune pause. L'un profitant de ma bouche pour uriner, tandis que l'autre me viole. A la fin, anéantie par le viol commis par mon père, ainsi que par mon frère, je n'ai plus la force de hurler, ou de pleurer. Je me contente de les subir en silence, inerte. Aussi quand Greg revient me chercher vers vingt-deux heures, j'accueille son arrivée comme une libération. Même si je sais que cinq punition m'attendent, même si je sais que je serais violée encore et encore. Au moins ce ne sera pas par les sexes de mon frère et de mon propre père. Ce ne sera plus un viol incestueux...
Greg revient accompagné d'une rousse splendide d'environs vingt-cinq ans. Il sourit en voyant mon frangin et mon paternel me violer, à deux. L'un dans la bouche et l'autre dans l'anus. Mais surtout moi me laissant faire.
- Je vois que la petite famille est presque au complet, et que surtout on s'amuse bien. Je comprends surtout que si la pute ne crie pas, c'est qu'elle aime.
Je pense : Non, connard, la pute n'aime pas, elle est trop anéantie pour hurler sa douleur ou même juste pleurer. Alors la pute fais la seule chose qu'elle peut faire, elle subit en ...