« Josy »: La petite salope au supermarché Épisode 17
Datte: 23/11/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... de suite. » Il bassa la tête, il n’osait pas me regarder, je le sentais gêné, il avait emboité la dernière pièce mais ne se relevait pas : « Et moi je te plais ? Tu dois en baiser souvent des clientes non ? » Comme salope, je ne pouvais pas en dire plus. Je devais joindre les gestes à la parole pour finir le travail.
Je m’étais agenouillée derrière lui, pris son visage entre mes mains, le tournai légèrement vers moi, je penchai ma tête et je l’embrassai. Il s’était laisser faire, il était franchement timide. Mais croyez-moi, il bandait comme un taureau. Nous nous étions retrouvés tous les deux allongés à même le sol. J’avais peur qu’il parte, je n’avais pas attendu, pour lui défaire la ceinture et lui baisser son pantalon et son caleçon. En effet, il avait une belle bite pas très épaisse mais bien dure et tendue.
J’étais nue sous mon peignoir largement ouvert, lui couché à plat dos, il me massait la poitrine, moi à genoux entre ses jambes, je lui fis comme à mon habitude, une fellation dont j’étais passé maitre dès mon adolescence. Lorsque je sentis qu’il ne tiendrait plus longtemps, je le chevauchai et introduis son sexe en pleine érection dans ma petite chatte largement mouillée. Même très excitée depuis un moment, je n’étais pas parvenue à jouir, il s’était retiré pour éjaculer dans les poils de mon pubis.
En se relevant, il s’excusa en remontant à la hâte son slip et son pantalon : « Excusez-moi, je viens de faire une connerie, je n’aurais pas dû coucher avec ...
... une cliente. » J’étais très surprise par sa remarque, je pensais qu’il allait s’excuser pour la rapidité à laquelle il m’avait baisée sans que je prenne mon pied. J’étais déçue, cependant, j’avais essayé de le rassurer tout en m’essuyant : « Ce n’est pas grave, personne ne le saura, à part nous deux. Promis je ne le dirai pas à votre femme. » Dis-je en riant.
Après m’être nettoyée, j’enfilai une petite culotte et ma robe pendant qu’il finissait d’installer le poste téléphonique puis nous étions redescendus ensemble. Il mit en fonction l’appareil principal et nous expliqua en grand professionnel son fonctionnement, tout en nous disant qu’il y avait encore la possibilité de raccorder plusieurs postes. Gislaine s’était mise à côté de lui comme une chatte en chaleur pendant que nous prenions un verre mais sans aucun succès. Claude finit sa boisson à la hâte, prit ses outils et nous quitta avec un tout petit : « Au revoir mes demoiselles. »— Il est vachement bizarre quand même, ton copain. Ça ne doit pas être un bon coup. Dis-je, mine de rien, à mon amie.
— Tu as peut-être raison en définitive. S’il l’était, il n’aurait pas tant la trouille d’Éliane et baiserait à droite et à gauche.
Je n’avais jamais repris cet homme comme amant, par contre, il était venu plusieurs fois au restaurant avec son épouse mais sans ses gosses.
Cela fait un moment que je ne vous parle plus de Françoise. Non ! Je ne l’avais pas oublié, comment l’aurais-je pu ? Cela faisait déjà cinq ans que je ...