« Josy »: La petite salope au supermarché Épisode 17
Datte: 23/11/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Meilleurs vœux à tous !
1976, fut l’année de la consécration, le CA avait doublé, le restaurant « Chez Josy » commençait à être reconnu dans toute la région. Simon le chef cuistot faisait des miracles. Les week-end, il était presque impossible d’avoir une place sans réservation. Ce succès était dû en grande partie par la réputation de la guinguette. « La Grange à Josy » était pleine à craquer du vendredi soir au dimanche et pendant la période des congés d’été, tous les soirs, nous comptabilisions près de 400 personnes. C’était devenu le rendez-vous des amoureux d’un certain âge (45 ans de moyenne). Soit, ils venaient ici rechercher l’âme sœur, soit les couples déjà mariés venaient uniquement boire et danser et pour certains, « les infidèles », ces couples venaient afin de se retrouver en toute discrétion.
Pendant ce temps, je prenais mon pied durant 30 minutes au moins, une fois par semaine, après la réunion de chantier avec Alain l’entrepreneur, en cachette de Liliane qui semblait être jalouse. Mon Jean-Lou quant à lui, toujours fidèle à lui-même, était désormais à la recherche de mes futurs amants. Il essayait avec ses propres critères et ne se trompait pas beaucoup, il connaissait parfaitement mes goûts et savait très bien ce que je recherchais chez un homme. Lui préférait que mes aventures soient sans lendemain, sans doute par jalousie, il avait peur que je m’attache.
Le dernier en date, il me l’avait trouvé au supermarché en train de pousser un caddie à ...
... l’intérieur duquel un enfant en bas âge était assis et sa femme à proximité dans les rayons. Nous avions bien ri ce jour-là. Dès que Jean-Lou avait vu cet homme, un beau brun d’une trentaine d’années, il me le désigna et me dit : « Regarde celui-là, il serait parfait. » C’est vrai qu’il était attirant, je l’avais déjà aperçu dans ce magasin et moi aussi je m’étais dit qu’il ferait sans doute un excellent amant.
Quelques semaines auparavant, j’avais déjà essayé d’utiliser mon charme sans succès. Persuadé que ce sportif finirait dans mon lit, mon futur mari me lança un défi : « Nous sommes lundi, je te parie qu’avant vendredi tu couches avec lui. T’as vu sa femme ? » Sur ce point, il n’avait pas tort, son épouse n’avait pas grand-chose pour elle, hormis de jolis yeux. Elle semblait négligée, son visage sans aucun maquillage était terne, sa coiffure sans style et son corps était bien trop imposant pour sa taille.
Pourtant j’étais certaine que ce type l’adorait et que je n’avais aucune chance : « Alors tu paries ? Surtout ne triche pas » J’avais donc accepté le deal car cela m’amusait, j’étais bien décidée de jouer le jeu à fond : « Ok, mais tu finis de faire les courses seul et tu me laisses faire. » Ce jour-là, j’étais vêtue assez décontractée, je portais une jupe courte, avec un petit chemisier blanc dont j’enlevai un bouton supplémentaire.
Sa femme faisant la queue à la boucherie, il stationnait son caddie dans l’allée. Je m’étais placée juste à côté de lui et sur la pointe ...