1. « Josy »: La petite salope au supermarché Épisode 17


    Datte: 23/11/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... n’êtes pas lourde, je vous assure. Dit-il en me fixant dans les yeux et en me souriant.
    
    Là il fallait que j’attaque, j’étais sur la bonne voie. Je poursuivis : — Ne nous sommes-nous pas déjà rencontrés ? Il me semble que vous m’êtes familier. Vous travaillez à France-Télécom, n’est-ce pas ? Demandais-je en lui passant la main le long de son bras.
    
    — Oui ! Je fais des installations téléphoniques, principalement chez les clients professionnels. Mon secteur c’est la grande banlieue sud. En effet, je vous ai déjà vu mais c’est ici, dans ce magasin. Je n’oublie jamais un visage, croyez-moi.
    
    J’étais persuadée d’avoir gagné, il se rappelait de moi et il s’était libéré et n’hésitait plus à parler. Je devais aller encore plus loin, si je voulais qu’il tombe dans mon piège, il fallait profiter de l’absence de son épouse : « Nous pourrions peut-être nous revoir, nous pourrions prendre un verre ? » Avant de me répondre, il jeta un œil autour de lui et rassuré, il me répondit d’un air inquiet : « Ça me ferait plaisir… C’est que… Je ne suis pas libre … » Le voyant ainsi hésiter, je lui dis : « Je m’appelle Josiane » Mais à cet instant, nous entendions sa femme qui arrivait au bout de l’allée : — Bon ! Claude ! Qu’est-ce que tu fous ? Qui c’est, celle-là ?
    
    — Ce n’est rien ma chérie, cette dame vient de se tordre la cheville.
    
    — Elle n’a qu’à pas porter des talons aussi hauts. Et vous ! Laissez mon mari tranquille.
    
    Je ne demandai pas mon reste, je tournai les talons et je ...
    ... rejoins Jean-Lou qui m’attendait dans le rayon d’à côté. Il avait assisté à la scène sans entendre ce que nous disions, un moment croyant que c’était dans la poche, il avait même levé son pouce. Une fois arrivée à sa hauteur, il me demanda : « Alors ! C’est bon ? Quand le vois-tu ? » Voyant ma déception, il avait compris : « Sa pouffiasse est arrivée cinq minutes trop tôt. C’est foutu pour aujourd’hui. » Nous avions revu ce couple en caisse mais je m’aperçus qu’il n’avait même pas daigné me regarder : « On ne peut pas gagner à tous les coups me rassura Jean-Lou. »
    
    Le hasard fit bien les choses, n’ayant pas de téléphone dans mon bureau à l’étage, ni aux cuisines, il était prévu que nous fassions installer plusieurs postes au restaurant. Deux semaines plus tard, Gislaine me fit part qu’un technicien de France Télécom, devait venir lundi matin faire son installation. Toutefois, ayant connue un dimanche de folie à la guinguette et au restaurant, plus la nuit que j’avais passée avec Jean-Lou, j’avais profité de mon jour de fermeture pour faire la grâce matinée.
    
    Gislaine l’avait reçu à son arrivée et après une heure et demi à tirer des fils, placer des prises aux emplacements prévus au rez-de-chaussée, il ne restait à ce technicien désormais, qu’à finir son travail dans mon bureau. Gislaine après être venue me réveiller, paya un verre à cet ouvrier de France télécom, pendant que je prenais ma douche. Lorsque j’entendis frapper l’installateur à la porte de mon appartement, ...
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