« Josy »: La petite salope au supermarché Épisode 17
Datte: 23/11/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... n’étant pas encore habillée, j’enfilai mon peignoir et quelle surprise lorsque je le vis devant moi.
Le « Paradis » faisait justement partie du secteur de Claude et ce fut lui qui vint ce jour-là. Il était encore plus surpris que moi de me revoir et dans cette tenue : « Ah Salut ! Quelle bonne surprise de te revoir. » lui dis-je le plus décontracté du monde, comme si nous étions de véritables amis. Je lui fis la bise et me dit : « Si je m’y attendais, tu sais que je suis désolé pour la dernière fois, je croyais que je ne te reverrais jamais. » Je le pris par la main et l’emmena jusqu’à mon bureau, pendant que je descendis boire un café : « T’en as pour longtemps ? Je reviens dans quelques minutes. »— Non tout est prêt ! 10 minutes pas plus.
Aujourd’hui, c’était un autre homme, il n’avait pas trouvé bizarre que je le tutoie et m’avait répondu en le faisant lui aussi. Honnêtement, la situation m’excita, je voulais vraiment baiser avec lui le plus tôt possible. Accepterait-il ? Avait-il le temps ? Lorsque j’étais descendu, Gislaine était venue immédiatement me voir et pendant qu’elle me servait le café elle me dit : « Que penses-tu de Claude ? T’as vu c’est un beau mec hein ? » En effet, elle le connaissait car il habitait le village voisin et comme je vous l’avais déjà dit, Gislaine n’était pas farouche : « Ouais ! pas mal. » — Tu es bien difficile dit donc, je t’ai déjà connu beaucoup plus enthousiasme. Moi, j’en ferais bien mon quatre-heures, mais il ne se laisse pas ...
... approcher malheureusement.
Elle poursuivit en me disant qu’il avait connu Éliane sa femme depuis l’enfance et qu’il lui avait fait déjà quatre gosses. Qu’elle avait plusieurs fois tenté sa chance et qu’elle n’était parvenue qu’à lui voler un baiser, une seule fois : « Tout à l’heure, quand je lui avais offert son coca, je lui ai encore fait comprendre que j’étais disposée à passer un moment avec lui. » Cependant, Claude lui avait souri en détournant la conversation : « Bon ! Gigi, tu es bien gentille mais je dois finir mon taf. »— Soit il adore Éliane, soit c’est un grand timide.
— Bon Gislaine ! Il ne m’attire pas ton Claude, je remonte me préparer.
Depuis que Jean-Lou vivait avec moi, je ne montrais pas à mon entourage que je me laissais encore aller aux plaisirs charnels. Seule Françoise savait pour notre couple, je devais conserver ma réputation. Seulement en remontant j’étais encore plus excitée. Lorsque j’étais rentrée toujours en peignoir dans le bureau, Claude était accroupi devant le mur, finissant d’installer sa prise téléphonique. Je m’étais placée debout derrière lui et posai mes mains sur ses larges épaules : « Ça va comme tu veux ? » Il ne répondit qu’un petit « Ouais ! j’ai bientôt fini. » En pensant à ce qu’avait dit mon amie, je me lançai le défi en attaquant franchement.
Ou il me jetait ou il me baisait. Mes mains toujours posées sur ses épaules, glissèrent sensuellement sur le haut de ses pectoraux : « Tu es bien foutu, tu sais. Tu m’as plu tout ...