« Josy »: La petite salope au supermarché Épisode 17
Datte: 23/11/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... des pieds en levant les bras, j’essayai vainement d’attraper un paquet au fond de la dernière étagère. Bien entendu, mon derrière étant tendues au maximum, ma jupe remontait sur mes cuisses à la limite de mes fesses. J’attendais qu’il vienne à mon secours, mais au lieu de ça, je le vis du coin de l’œil me mater. Il m’avait même semblé l’avoir aperçu baisser légèrement la tête, afin de voir, probablement qu’elle était la couleur de ma petite culotte.
Mon Jean-Lou, bien dissimulé pour nous espionner, se mit à rire lorsqu’un vieux monsieur voyant que j’étais en difficulté, leva son bras et attrapa le paquet et me le tendit : « Merci beaucoup, mais je crois que je ne vais pas le prendre. Vous êtes gentil. » Lui dis-je poliment. Ma cible me regardait, j’en avais profité pour lui jeter mon plus beau sourire, cependant il tourna la tête vers le rayon boucherie afin de vérifier si sa femme ne le regardait pas.
Cet homme devait avoir peur de son épouse. Serait-elle jalouse ? Je n’en doutais pas, car ce type étant un beau garçon, il devait se faire draguer souvent dans les lieux publics. Il l’avait peut-être déjà trompée en définitive, j’avais sans doute une chance, pour cela je devais être très discrète. Avant que je quitte le rayon, je lui dis en souriant de nouveau : « C’est bien trop haut pour moi. » Il tourna la tête une nouvelle fois vers sa femme et la voyant discuté avec le boucher, il me sourit franchement et comme j’avais engagé la conversation, il me répondit : — Je ...
... suis désolé, j’aurais dû vous aider mais je ne vous avais pas vu. Mentit-il en me dévisageant de la tête aux pieds.
« Vous êtes tout pardonné cher Monsieur. La prochaine fois je viendrai vous chercher. » Lui répondis-je en riant et en posant ma main sur la sienne qui maintenait la poignée du caddie. Nous nous sommes souris une nouvelle fois, avant que je change de rayon. Je savais que je lui avais taper dans l’œil. Je le vis se diriger vers son épouse et après quelques secondes de discussion, il lui laissa son caddie et le petit garçon et fila en direction du rayon hygiène. Je l’avais donc suivi et lorsqu’il fut planté devant les paquets de couches, ce fut le moment que je choisis afin de l’attaquer de front.
Arrivée à sa hauteur, je fis mine de trébucher et je me retins en m’accrochant à ses avant-bras. Ma tête à quelques centimètres de son torse, je vis, d’après le logo de sa chemise, qu’il travaillait à France Télécom et qu’il s’appelait Claude. Il me regardait surpris et m’aida à me redresser. J’avais conservé une main sur son poignet et je le remerciai : « Décidément, le monde et petit. Cette fois vous m’avez apporté votre aide. Je vous remercie du fond du cœur. »
J’avais failli rire aux éclats lorsque j’aperçus Jean-Lou au bout de l’allée. Cependant cet homme me demanda très gentiment en me prenant l’épaule : « Vous ne vous êtes pas fait mal, j’espère ? »— Non ! Merci ! Heureusement que vous étiez-là. Vous êtes si fort.
— Merci ! Ce fut un plaisir, et vous ...