1. Mutinerie au Congo, Chapitre 03


    Datte: 18/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... l'informaient : le soldat nègre était en train de l'embrasser de force, de ses grosses lèvres charnues, son visage de terre sombre tout contre le sien tandis qu'il lui serrait les poignets à la faire hurler de douleur. Ce qui arrivait était impossible! Impossible et impensable! Mais pourquoi donc cela arrivait-il? À elle en plus!
    
    De hauts cris résonnèrent dans la maison. C'était Nadine. Armande, qui redoubla de vigueur en se débattant, tentant désespérément de dégager ses poignets de l'emprise de son agresseur, comprit que des mutins investissaient la maison et qu'ils venaient de s'emparer de Nadine.
    
    Pendant que l'autre soldat tenait Louise fermement embrassée dans l'étau de ses bras, Armande parvint à se dégager à demi de son agresseur à elle, qui malheureusement lui saisit d'une main le devant de sa blouse blanche et l'empêcha de partir ; les deux boutons d'en haut se rompirent et la jeune blonde tenta de fuir tandis que le nègre gardait obstinément sa prise sur la blouse blanche, dont l'échancrure s'élargit encore, laissant voir les jeux de courbes de son soutien-gorge.
    
    Dans la maison, la jeune Nadine hurlait à en faire s'ébranler les murs tandis que des troufions lui lançaient des jurons et quolibets anti-Belges. D'autres se réjouissaient de leur belle capture...
    
    « Hé les gars! C'est Nadine Gilbert, la fille du directeur de l'école! »
    
    « On va bien s'en occuper, de la petite Nadine! »
    
    « Allez, la petite étudiante! Fais-nous voir un peu ton petit cul de ...
    ... lycéenne! »
    
    « Non! Non, non, non, non, non, non, non... »
    
    Armande entendait tout et commença à pleurer pour Nadine. La pauvre allait se faire déflorer à répétition. Par ces sales nègres! Par ces maudits Congolais qui se croyaient tout permis juste parce qu'ils avaient maintenant un pays souverain.
    
    Louise restait pétrifiée tandis que le soldat, qu'elle connaissait bien de vue, continuait de l'embrasser avec une fougue forcenée, obligeant ses seins à s'aplatir contre sa poitrine d'homme congolais.
    
    Louise ne pouvait concevoir se contact charnel et intime entre le Noir et la Blanche. C'était trop. Son esprit se bloqua et tenta de faire le vide face à la tempête de ses cinq sens. Elle était pénétrée de l'odeur âcre du nègre, de ses mains, dont une lui pressait un sein, de cette noirceur de peau qu'elle ne pouvait s'empêcher de regarder... Pénétrée aussi par ce goût inédit qu'il forçait dans sa bouche, tandis qu'elle entendait toujours les hauts cris de Nadine venant de la maison, et les hargneuses protestations d'Armande juste à côté d'elle.
    
    Il y eut bientôt du mouvement autour des Blanches qu'on embrassait de force. Des soldats accouraient et environnèrent la scène, qu'ils applaudirent de leurs mains bien brunes.
    
    La bruyante soldatesque, sept ou huit hommes, reconnurent immédiatement les deux femmes. Louise O et Armande Neveu ; mesdames la capitaine et la lieutenante.
    
    « Allez, les gars » dit un sergent, « déshabillez-les, ces deux salopes blanches, qu'elles ...
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