Mutinerie au Congo, Chapitre 03
Datte: 18/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
Chers lecteurs et lectrices. Je poursuis ici mon adaptation de cette histoire écrite en anglais sur un autre site. Ici, la perspective s'élargit avec de nouveaux personnages. Les soldats mutinés déferlent sur l'ensemble du quartier blanc et enfoncent toutes les portes. Encore une fois, c'est une profusion de viols en réunion, mais il y a de nouveaux éléments, parce que chaque situation, chaque personnage a ses particularités. Il y a une chose qui est pourtant très répétitive... c'est qu'elles sont belles, les Belges! J'adore les voir se faire déshabiller.
Il faut aussi savoir que sur Literotica, une règle exige que dans les récits non consentants, chaque victime ressente un minimum de plaisir. C'est donc plus le récit d'un fantasme de viol qu'un récit de viol. Tous les noms de personnage sont fictifs, et je ne prétends aucunement décrire fidèlement ce qui s'est vraiment passé à Camp Hardy ce jour-là.
Puisse cette suite vous plaire.
----------------------------------------------------------------------------
Camp Hardy, quartier blanc. Lundi, 11 juillet 1960.
En ce beau jour ensoleillé du mois le moins chaud de l'année congolaise, Armande, l'épouse du lieutenant Neveu, est là, dans la cour arrière de sa voisine, assise à siroter une bière blonde et fraîche comme elle, tout en discutant avec une autre jeune femme portant alliance, les cheveux bruns et quelques années de plus celle-là. C'est Louise, la femme du capitaine O, en train de garnir sa corde à linge ...
... de lessive à sécher.
De son regard d'Andalouse, Louise voit avec fierté le beige clair d'une chemise d'uniforme se déployer avec les pattes d'épaule ornées des trois étoiles signalant le grade de son capitaine de son mari.
Comme sa voisine blonde qui sirote sa bière belge, Louise tâche de vaquer à ses occupations quotidiennes en essayant de ne pas songer au pétrin dans lequel elles-mêmes, leurs maris et leurs familles se trouvent. Le colonel Bobozo, ce sale nègre que le nouvel état-major congolais a bombardé commandant de Camp Hardy, refuse catégoriquement de laisser partir les « bons Blancs ».
Elle sent le soleil tropical, très haut dans le ciel en ce début d'après-midi, lui taper directement sur les cheveux, qu'elle a brun chocolat en longues et soyeuses mèches qui tombent ondulées sur son dos, que recouvre une robe vert émeraude, ceinturée et seyante, qui se déploie en largeur et lui descend un peu plus bas que les genoux. Madame la capitaine porte bas de soie et talons hauts, comme il se doit.
Armande, qui est un tantinet bisexuelle, adore contempler sa voisine, dont elle devine la joliesse des seins sous cette robe à manches courtes en la regardant qui tend les bras devant elle et accroche sa lessive à la corde, tenant les pinces à linge dans sa bouche, où brille un discret rouge à lèvres. La jolie brune a de petites boucles d'oreille argentées dont l'éclat perce parfois la nuit de ses cheveux.
« En tout cas, dit Armande, j'espère qu'on va bientôt pouvoir ...