1. Mutinerie au Congo, Chapitre 03


    Datte: 18/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... puissent tâter d'un peu de bites congolaises! »
    
    « À poil! À poil, les Blanches! »
    
    « C'est aujourd'hui qu'on sabre le champagne! »
    
    Cette scène ensoleillée et crue se déroule comme dans un rêve sur fond de pelouse jaunie ; pour les femmes comme pour les hommes, le temps ralentit.
    
    Dans la maison, les murs et la fenêtre ouverte retentissent des hauts cris de Nadine, accompagnés des rires gras, sifflets et quolibets des mutins qui, de leurs mains et de leurs visages souriants, assombrissent son horizon et éclairent leurs yeux fous en la déshabillant de force tandis que la jeune fille devient folle et gesticule en panique dans leurs bras en criant toujours comme une folle.
    
    Dans la cour arrière, Armande est empoignée par les bras et l'officier, un capitaine fraîchement promu, à qui elle crache au visage, lui saisit le col, déjà à demi déchiré, et il l'embrasse de force avec un plaisir indicible.
    
    D'autres nègres souriants étendent Louise sur le gazon jauni de soleil ; la masse sombre de ses cheveux forme un grand éventail de soie brillante sur cette pelouse où elle a le souffle coupé en réalisant qu'elle est sur le point d'être violée par ces hommes.
    
    Les mutins hurlent leur joie sauvage de pouvoir faire main-basse sur les bourgeoises blanches...
    
    « Wou-hou-hou-hou-hou! »
    
    « Ahh... On va les violer, ces sales traînées blanches! Ahh... On va les faire râler comme des chiennes! »
    
    « À poil, à poil, les salopes blanches! »
    
    « On va leur donner de la bite ...
    ... congolaise! »
    
    « Elles en meurent d'envie! »
    
    « Fumiers de Belges, ils l'ont bien cherché! »
    
    « Allez les filles, c'est votre tour! »
    
    « Ahh... On va leur apprendre à tirer sur nos hommes! Allez les gars, déshabillez-moi ces deux gourgandines! Dommage que leurs couillons de maris ne soient pas ici pour voir ça! »
    
    « On va tout leur raconter en détail, sergent! »
    
    L'idée n'est pas mauvaise, mais aucun des mutins échauffés n'a envie de quitter les lieux pour aller chercher les maris, et puis il y a là un risque inutile de complication. On fera ça demain, mais d'abord, il s'agit de déshabiller les deux jeunes épouses et de s'amuser avec elles.
    
    Muette de stupeur, étendue sur le gazon jaune d'Afrique au milieu des grands éclats de voix et des moqueries assourdissantes, Louise, tout hébétée, a le corps tout pétri par les mains des nègres qui lui arrachent sa belle robe d'été ; tout est emporté par la meute rageuse ; sa robe vert émeraude au tissu fin est déchirée en lambeaux dans un bruit qui la dénude et la couvre de honte.
    
    Un soldat lui tient les bras au-dessus de la tête tandis qu'elle est maintenue au sol et qu'on découvre ses longues jambes fuselées et bien blanches, en les tenant droites et hautes pour y faire glisser les lambeaux de sa robe toute déchirée.
    
    Petite-culotte et soutien-gorge, aussi blancs que les gants d'Armande, lui sont arrachés au milieu d'un grand roulement de sifflets grivois ponctués de grognements primitifs. On commente l'éclat tout noir ...
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