Mutinerie au Congo, Chapitre 03
Datte: 18/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... avoir raison de son chandail vert, qui bientôt gît au sol comme un garde loyal que les assaillants viennent de tuer. Son soutien-gorge est aussitôt arraché. Les seins de Véronique, d'une beauté blanche et nubile, se déploient et gigotent tandis que la fille tente de résister en hurlant sa rage et sa terreur.
Ce sont à présent quatre nègres qui s'acharnent sur elle tandis que d'autres plaquent Pauline au sol.
Véronique secoue la tête en perdant la raison ; elle crie « Non! Non! Non! Non! Non! » en secouant la tête dans le désordre noir de ses cheveux, tandis que deux nègres lui tiennent solidement les poignets et les deux autres lui soulèvent les jambes bien droites en s'excitant à la vue de ses pieds nus.
Une fois qu'ils lui tiennent bien les chevilles, ils se ruent sur sa ceinture et tirent le tout, sans douceur, et forcent le passage de ses hanches. Ils font ainsi glisser tout ce qui lui reste de vêtements -- jupe et petite-culotte -- dans un grand désordre en découvrant son mont de Vénus et son triangle parfaitement noir de poils intimes ; ils admirent son sexe et apprécient les accents beige clair de son teint riche en mélanine.
Avec ses cheveux longs à peu près noirs, Véronique a plus l'air d'une Italienne née à Vérone que d'une Belge née à Léopoldville. La violer sera comme posséder et humilier une jeune Romaine et toute la civilisation classique qu'elle personnifie.
Pauline est déshabillée exactement comme Véronique : les jambes droites et maintenues ...
... ensemble tandis qu'on fait glisser sa jupe en damier noir et blanc tout le long de ses jambes longilignes. Elle aussi a des pieds magnifiques qui font durcir les érections congolaises.
Isabelle est déjà maintenue la face contre la commode et gémit comme une âme perdue tandis qu'un mutin la viole en levrette, un homme d'âge mûr qui trouve extraordinaire de violer cette jeune fille, abolissant l'écart des générations en plus de fracasser les tabous coloniaux.
Véronique, dont la bouche saigne des coups reçus, a beau se démener, crier et supplier et tenter de se libérer en gigotant comme une anguille plongée dans de l'acide, deux nègres lui tiennent et écartent les jambes ; d'autres lui tiennent solidement les bras plaqués sur le lit et la secouent comme un prunier pour lui faire comprendre qu'elle doit se calmer et subir leur loi.
Véronique a les seins bien à la vue avec leurs mamelons foncés qui sentent le secret d'une jeune fille douce, et le premier de ces messieurs, la bite bien dure et bien sortie sous les yeux terrifiés de l'adolescente, l'homme, plutôt laid et chauve, s'allonge sur elle, peinant à croire à la réalité du moment.
Véronique hurle et crie de rage et de honte quand elle sent la puissante invasion lui élargir la matrice et la déflorer! Mais elle est surprise de ne pas avoir trop mal.
L'homme s'exclame de surprise et dit quelque chose en lingala. Elle comprend qu'elle avait déjà le sexe mouillé d'excitation, car elle n'arrêtait pas de songer à son ...