Mutinerie au Congo, Chapitre 03
Datte: 18/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... fantasme de motards pendant qu'elle dansait au son des disques de Pauline.
Pauline est violée en missionnaire comme Véronique sauf qu'elle est par terre. Le caporal est allongé sur elle et savoure son plaisir sans nom. Il l'a pénétrée presque comme dans du beurre, car sa chatte était toute mouillée.
Le caporal va-et-vient en Pauline, qui pleure et gémit en intégrant l'infinie distance entre ses fantasmes et la réalité d'un véritable viol en réunion, viol qu'elle subit et qui ne fait hélas que commencer. Elle n'a presque pas senti son hymen, et le sien n'était pas grand'chose de toute façon.
Le caporal rugit de plaisir en violant Pauline ; il s'emballe et la secoue sauvagement, et ses petits seins dansent la mesure en mouvements secs et rapides. Elle gémit de plaisir forcé quand les autres lui frottent les seins, et les pressent doucement ; elle sent qu'ils ne la torturent pas ; ils font juste la violer sauvagement. Rien que ça. Elle est secouée tout en sanglots tandis que son violeur se met à hurler...
« La lycéenne! La lycéenne! Je la viole! Je la viole... Aahh, aahhh, ahhh, aaahh... Oaah c'est bon! Aahh, Pauline, tu es belle, Pauline, tu es... Aahh! Bandante! Une vraie petite déesse... aaah oui! Oui... »
L'homme chauve d'un certain âge couvre Véronique de baisers et d'opprobre tandis qu'il la viole. L'homme plutôt âgé qui prend Isabelle en levrette lâche bientôt son cri de jouissance accompagnée d'une chaude décharge qui porte le risque d'un bébé brun ; il ...
... est aussitôt remplacé par un autre, plus jeune et vigoureux celui-là, et dont les sauvages coups de boutoir font bientôt grincer la commode où glisse le visage d'Isabelle, qui ressent malgré elle un plaisir diffus de cette bite qui la laboure.
Dans la salle de séjour, l'adjudant joufflu a fini d'éjaculer dans la mère et regarde le sergent pilonner Lucie par derrière comme un étalon qui monte une jument blanche; la fille prend les coups de bite le ventre plaqué contre ce bras de canapé rembourré qui lui coupe le souffle à demi.
Soudain, le grand sergent accélère et se met à aller et venir en Lucie comme un forcené, admirant les lumières belges de son cul parfait tandis qu'il sent la douceur de sa taille sous ses mains et la tient bien fermement lorsqu'il vient mourir en elle.
Il pousse un long râle et jouit très fort, tirant quatre ou cinq jets puissants en Lucie, qui pleure à chaudes larmes au milieu des quolibets et des railleries des soldats qui l'entourent et la tiennent, la bite à l'air, et aussitôt, un autre soldat vient prendre le relais et pénètre Lucie en levrette, et la viole à son tour contre le canapé grinçant et déjà fatigué de cette rude épreuve. Un autre homme est en train de violer Jeanne sur la table à café ; Jeanne qui n'arrête pas de hurler le nom de Lucie au milieu de ses sanglots convulsifs. On lui déchire le haut de la robe, puis le soutien-gorge, et l'on trouve qu'elle n'est pas mal du tout, seins nus.
Le mutin qui la viole arrive rapidement à ...