1. Mutinerie au Congo, Chapitre 03


    Datte: 18/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... allaient y trouver une issue.
    
    Les mutins surexcités les saisissent. Véronique est jetée sur le lit et brutalement assaillie, elle et ses vêtements. Isabelle est plaquée la face contre une commode, et ils lui déchirent sa robe bleue et blanche en damier oblique. Sa robe d'été au tissu mince n'est pas de taille contre la fureur des Congolais déchaînés.
    
    Dans un grand concert d'étoffe déchirée, le dos d'Isabelle est hâtivement mis à nu et on lui brise l'élastique et l'agrafe de son soutien-gorge. À la blancheur éclatante de son dos répond la pureté toute en courbes de son cul de fille rousse. Ici, aucun hâle africain ; la fille sera violée en tant que vraie Blanche.
    
    Véronique se débat comme une folle tandis que des mains sombres saisissent et abîment son épais chandail vert ; il faut trois hommes pour la maîtriser ; elle se débat et lutte comme une forcenée, mais les nègres sont trop fort ; ils ont trop envie de la voir nue et de la posséder.
    
    Pauline crie d'une puissance suraigüe contre les trois Congolais souriants qui l'environnent. L'un lui tient fermement les bras par derrière en lui disant des cochonneries à l'oreille, et elle gesticule des mains en suppliant les deux lascars qui lui font face, en les implorant d'être gentils, mais le nègre qui lui fait directement face saisit et force le devant de son chemisier blanc cassé.
    
    « Non! Non! Je vous en prie! Soyez gentils! Soyez de bons nègres! Non, AAAIIEEE!!!»
    
    Le caporal lui faisant face l'a giflée à toute ...
    ... volée, puis il tire et déchire complètement sa blouse, puis tire, étire et détruit son soutien-gorge.
    
    « Allez, la salope blanche, fais voir tes petits nichons! »
    
    Les petits seins de Pauline apparaissent au milieu des ruines mouvantes de son chemisier. Ils sont comme animés d'une vie propre ; ses mamelons à peu près bruns surmontent de petits promontoires dont le relief est aussi modeste que puissant. Le caporal vient les lui lécher, et Pauline hurle comme si on l'éventrait, mais le contact de cette bouche de nègre sur ses mamelons la font brûler d'une excitation souterraine ; elle sent qu'elle va vite capituler, et raisonne avec sa vertu outrée en se disant que de ne pas résister rendra le tout plus facilement supportable ; si elle coopère, peut-être qu'ils seront gentils et iront plus en douceur...
    
    Pris d'une sauvage pulsion de viol, le caporal veut tout de suite lui écarter les jambes pour la posséder, mais ce n'est pas si facile. Pauline serre les jambes ensemble, sous la jupe qu'elle porte toujours, en criant comme une folle...
    
    « Non, non, non! Soyez gentils! Non... NAOOOOON!!! Je suis vierge! Vierge! Naoooon... aaaahh-aaaaaahhhh... rrrrrrhhhhhhhaaaa-aaaaaaaaa-aaaaaaaaaa-aaaaaaaaaaahhhh... »
    
    Pauline emplit la pièce de ses cris désespérés, elle tente en vain de se dégager, se débat et s'épuise, comprenant que ses petits fantasmes de lycéenne n'ont rien à voir avec la vraie vie.
    
    Sur le lit, on frappe Véronique de gifles et de coups de poing et l'on finit par ...
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