1. Mutinerie au Congo, Chapitre 03


    Datte: 18/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... Lucie de se sauver, sachant ce que ces sales nègres ont en tête et collant furieusement les jambes pour protéger sa vertu tandis qu'elle braille et continue de hurler le nom de Lucie.
    
    Lucie entend tout et stoppe le morceau de musique sur le point de finir. Elle comprend que ce qui se passe est très grave. Elle entend sa mère hurler à tout rompre, comme elle ne l'a jamais entendue hurler, et elle a soudain vraiment très peur, car elle comprend, sans arriver à y croire, que ce qui est en train de se passer, c'est la chose la plus grave entre tous les scénarios possible. C'est le pire cauchemar!
    
    Elle entend les nègres crier son nom tandis que sa mère n'arrête pas de hurler comme une folle en criant son nom elle aussi...
    
    « Lucie! Lucie! Sauve-toi vite! Noon... Nnaaaaaaaaaaaooooon!!! Lucie! Lucie! »
    
    « Allez les gars, par ici les gars, elle doit se cacher dans sa chambre, la petite gourgandine! »
    
    « Aaah... Lucie De Vos! Qu'est-ce qu'on va la défoncer! »
    
    « Wou-hou-hou-hou-hou-hou-hou! »
    
    « T'en fais pas ma mignonne! On arrive! »
    
    « J'ai hâte de voir son beau petit cul tout blanc! »
    
    Lucie a le sang qui se glace ; terrifiée, elle veut se mouvoir pour prendre la fuite, elle veut parler pour dire à ses amies de se cacher, de se sauver, de prendre quelque meuble pour se défendre, mais ses jambes refusent de lui obéir ; sa bouche reste muette, les lèvres tremblantes de terreur tandis qu'elle entend les lourdes bottines militaires approcher résolument de sa ...
    ... porte.
    
    Ils viennent! Ils viennent pour elle! Pour elle ; et ils vont aussi trouver ses amies. Ils arrivent! Ils arrivent!
    
    La porte s'ouvre à toute volée. Les nègres en uniforme font irruption dans la chambre de Lucie, l'aperçoivent, les aperçoivent, et là, toutes les filles sauf Lucie crient à faire éclater le verre en percevant le désir fou chez ces hommes et l'éclair sauvage et insensé qui brille dans leurs yeux d'Afrique noire. Il n'existe plus aucune loi ni plus aucune barrière pour les protéger d'eux, et elles le savent ; pire, elles le sentent dans leurs tripes qui se nouent et les paralysent.
    
    « Hé les gars! Regardez ce qu'on a ici! Lucie... Véronique! La belle grande Pauline...»
    
    « Saperlipopette! C'est pas croyable! On a trouvé une belle petite brochette ici! »
    
    Pendant que les deux soldats s'étonnent, les autres ne perdent pas de temps et se ruent sur les quatre filles, qui emplissent la pièce de leurs hauts cris, sauf Lucie.
    
    Pendant qu'on lui saisit les bras, Lucie croit entendre des cris stridents qui arrivent estompés, mais navrants, de sa fenêtre entrouverte... « Maman! Maman! maman! maman! maman-maman! ... » On dirait la voix d'Anne dans la maison d'en face. Difficile à dire avec Pauline, Véronique et Isabelle qui crient à pleins poumons pendant que les nègres leur annoncent qu'elles vont être violées pour fêter le Congo indépendant.
    
    Quand elle sent des mains d'homme lui empoigner les seins, Lucie veut hurler, mais n'y parvient pas. Elle veut se ...
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