Mutinerie au Congo, Chapitre 03
Datte: 18/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... défendre contre la soldatesque, mais elle est paralysée comme dans un cauchemar. On l'entraîne quelque part. Quelqu'un rigole en disant que ce sera drôle d'enfiler la fille juste devant sa mère. Sa mère qu'elle entend plus distinctement.
Elle ne voit rien ; autour d'elle, tout n'est qu'une forêt de visages, bras et mains d'hommes du Congo qui l'injurient en la traitant de « petite salope blanche » et de «sale petite pute ». Ces hommes portent l'uniforme de la Force publique ; ils n'arrêtent pas de lui pétrir les seins à travers son polo blanc, qu'ils obscurcissent de leurs mains rapaces et finissent par lui déchirer sauvagement.
« Regarde! Regarde ta fille, Madame la Capitaine! Tu vas voir comment on va la violer, ta petite salope blanche! » dit le meneur à Jeanne, qui se met à sangloter en les suppliant d'épargner l'opprobre à sa fille, mais le meneur, un adjudant joufflu, la gifle très fort et force pour lui écarter les cuisses, ce qu'il ne parvient à faire que partiellement, assez pour se glisser entre ses genoux ; l'homme lui-même agenouillé est irrité de cette résistance opiniâtre, et il donne deux grands coups de poing à Jeanne.
À demi inconsciente, un œil à moitié fermé et bientôt enflé au beurre noir, la mère a les jambes écartées et le solide adjudant au visage grassouillet, les nez bien épaté, peut enfin prendre ses aises entre ses belles cuisses à la peau claire et pousser contre l'entrée de son sexe, plutôt sèche. Comme toutes les brunes, Jeanne a le ...
... mont de Vénus obscurci de poils sombres.
L'adjudant joufflu est bientôt en elle et commence à la violer tout habillée, en robe d'été, sur la table à café pendant qu'à deux pas de là, d'autres mutins déshabillent Lucie à la hâte en lui pétrissant les seins et les fesses.
Les soldats nègres sourient et ressentent un vif plaisir en réalisant ce fantasme fou : déshabiller Lucie, fille chérie du capitaine De Vos, la mettre toute nue et lui balancer un gros chargement de sperme bien chaud après l'avoir déflorée. C'est l'objectif de leur mission. Ils y touchent et ils l'adorent. Mon Dieu qu'elle est jolie, la petite Lucie!
Ils se foutent de la terreur sans nom qu'ils infligent à la jeune fille tandis qu'ils lui arrachent son polo blanc et que leurs mains brun terre pulvérisent son soutien-gorge rose pastel, lui libérant les seins, dont le déploiement éperdu illumine toute la pièce et fait pousser de sauvages grognements aux soldats qui la contemplent. Ses mamelons tout pâles sont le point de perspective de leurs regards fous.
Les nègres qui l'environnent sont bandés comme des taureaux.
Incapable de bouger, écrasée par l'horreur qui happe sa vie, Lucie pleure en silence, les lèvres tremblantes tandis qu'on se presse pour lui lécher et pétrir les seins ; elle crie de honte terrifiée en se rendant compte que ça excite son corps, de se faire sucer et caresser les seins par cette troupe de sauvages déchaînés.
Ils finissent par la plaquer sur le ventre contre le gros bras ...