1. Mutinerie au Congo, Chapitre 03


    Datte: 18/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... qu'elle danse aux accords vocaux de « Idol With The Golden Head », elle rêve éveillée que les quatre chanteurs des Coasters l'enlèvent et l'emmènent dans une loge isolée, où ils la déshabillent et, tour à tour, ils offrent leur langue de solfège aux profondeurs humides de sa chatte vierge et la font jouir dans leurs bras, avant de la jeter contre une table et de la faire jouir encore, plusieurs fois, en la prenant par derrière comme des forcenés, l'emplissant complètement de leur sève afro-américaine et faisant d'elle leur petite pute blanche. Elle danse et danse, les yeux clos, tout excitée. Le premier chanteur, ou « lead singer », entame son couplet, suivi du chorus des trois autres...
    
    « Got down on my knees and began to pray (Great big idol with the golden head) »
    
    Les voix des Coasters portent un héritage tribal d'Afrique, qui donna naissance au «gospel » chanté par les esclaves d'Amérique et qui finit par se retrouver dans le «rhythm and blues» et le « doo-wop » américains. Sans l'héritage africain, il manquerait quelque chose à l'Amérique de 1960.
    
    Pauline danse près des autres filles, peut-être non moins excitées qu'elle. Elle sent sa petite-culotte toute mouillée. Elle cherche Véronique du regard, car elle sait que Véronique peut parfois se sentir attirée par une autre fille. Pauline a envie, très envie que quelqu'un, qui que ce fût, lui mange la chatte pour éteindre l'incendie allumé en elle. Embrasser Véronique serait très bien et très doux en soi ; elle ne ...
    ... dirait pas non, et puis se serait drôle de faire ça entre filles.
    
    Sur la table de chevet de Lucie, elle aperçoit le réveil matin, rond avec ses oreilles de laiton sonore ; les aiguilles noires sur blanc indiquent une minute passé deux heures vingt.
    
    Pauline et les autres entendent confusément une sorte de brouhaha qui vient de dehors. Mais elles continuent de danser, emportées par les voix des Coasters et leurs fantasmes de jeunes filles.
    
    Tout à coup, de gros coups sourds donnent contre la porte d'entrée. Puis, un coup de feu retentit à l'arrière et peu après, Jeanne hurle le nom de sa fille en voyant une escouade de nègres mutinés faire irruption après avoir fait sauter le verrou et enfoncé la porte de derrière à l'aide d'une poutre.
    
    « Lucie! Lucie! Sauve-toi! Cours! Cours! AAaaHhh!!! Non! Non! Laissez-moi! Non!»
    
    Les troufions, hurlant leur joie sauvage et criant « les putes blanches! les putes blanches! », ont attrapé Jeanne avant qu'elle ait pu courir à sa chambre chercher son revolver russe « Nagant ».
    
    Pendant que des soldats vont ouvrir la porte du devant pour laisser entrer les autres gars du peloton, d'autres soldats entraînent Jeanne au milieu de la salle de séjour.
    
    Ils lui plaquent le dos contre la table à café, qu'ils rasent brutalement en faisant tomber livres, tasse et bibelots, et sans autre forme de procès, sans la déshabiller, ils retroussent sa large jupe et se hâtent de lui arracher la petite-culotte.
    
    Elle lutte désespérément, criant à ...
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