Modèle d'Exposition
Datte: 13/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... nettoyer.
A 18h je rentrais à nouveau dans le hangar, tremblant de fébrilité tant les pointes me rendaient fou et excitaient déjà à nouveau mon sexe. J'étais allé dans des toilettes pour tout nettoyer, me sentant affreusement coupable et n'osant regarder personne. Le vendeur au rez de chaussée me fit monter et je retrouvais Victor, souriant et affable. Il me fit déshabiller, hormis les vêtements de latex qui me torturaient par leur chaleur mais surtout par les pointes acérées. Il me serra un large collier autour du cou, m'empêchant de bouger la tête, une sorte de camisole, puis m'installa sur une croix de saint André en plein milieu de l'espace. J'avais des ceintures à chaque membre, et je ne pouvais quasiment pas bouger, ni même soulagé les souffrances provoquées par les piqures. Pour terminer, il prit des pinces japonaises lestées et me pinça les tétons avec.
- Voilà mon cœur, tu es là pour mettre de l'ambiance et je suis certain que nos clients vont apprécier!
Je n'étais jamais venu en fin de journée, et fus très surpris de voir autant de monde! Y compris quelques couples hétérosexuels. Je n'avais rien d'autre à faire que regarder toutes ces personnes qui semblaient en effet apprécier la mise en scène qui leur était proposée! Beaucoup vinrent me toucher, presser les pointes pour voir mes réactions, tirer un peu sur me tétons déjà très douloureux. Certaines mains me caressaient doucement, c'était une sensation incroyable d'être exhibé comme cela, moi si timide et ...
... en retrait. Je ne cessais de bander et finalement j'étais soulagé de m'être fait jouir tout à l'heure, pouvant plus facilement me retenir.
Une fois le magasin fermé à 22h je fus enfin libéré par un employé qui m'aida à me redresser et à enlever le latex si douloureux. Ma peau était parsemée de points rouges et de quelques points de sang quand les pointes ont traversé ma chair. Il me regarda un peu effaré, tandis que je me massais pour faire circuler les petits vaisseaux de sang. Je rentrais chez moi, complètement épuisé, mais avec une érection énorme. J'avais tellement envie de me masturber avec ce caleçon, c'était quelque chose d'incroyable. Je savais que j'étais complètement fou, le regard de cet employé me l'avait bien montré, mais je n'y pouvais rien. Et je ne voulais surtout pas résister. Mon sexe était tellement douloureux que je retrouvais vite le plaisir de la souffrance en le masturbant longuement. Quand enfin j'explosais, je criai mon plaisir comme jamais, la jouissance dura une éternité, j'étais épuisé. Comme souvent, je recueillais mon sperme et je l'avalais, comme pour bien m'habituer. Ou m'humilier, je ne savais pas. J'étais loin d'être au clair avec ma sexualité. Parfois je ne me masturbais pas pendant plusieurs jours, sentant la fièvre m'emmener dans des délires que je ne comprenais pas, une fois la jouissance enfin là.
Les jours suivants, les choses évoluèrent, se renouvelant à chaque fois. J'étais moins juste un modèle d'exposition, mais aussi un modèle ...