Modèle d'Exposition
Datte: 13/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... fini. Un autre homme arriva avec un pistolet, de l'encre et une lumière vive pour éclairer mon visage. J'ouvris grands les yeux de panique, inutile une fois encore. Il appliqua un premier dessin sur mon front, un sur chaque joue, et un petit sur le cou. Evidemment ce n'était que des modèles. La brûlure était largement supportable, bien plus que la honte, l'humiliation et la dégradation que je subissais. Les mots de Victor me revenaient en boomerang, ce n'était définitivement pas enjeu, j'étais perdu, ils m'avaient entraîné dans une destruction programmée.
L'assemblée était restée à attendre ma sortie, impatiente du résultat. J'étais détruit et défait et ne songeai déjà plus à m'échapper. Pour faire quoi?
Tiré par une laisse accrochée à l'anneau de mon nez, Victor me présenta à mes Propriétaires. Ma cage et le cadenas de mon sexe se devinaient au travers du latex de la culotte cloutée qui m'avait été enfilée : je l'avais bien gagnée celle-là! Si mon sexe était protégé par les barreaux de la cage, mes couilles exposées étaient atrocement percées en permanence. J'avais également enfilé les chaussettes cloutées qui allaient avec, et rendaient ma démarche atrocement difficile et douloureuse.
Un corset victorien venait étrangler ma taille et faisait ...
... ressortir mes hanches. Il auraient du mettre en valeur mes seins, mais c'étaient surtout les pectoraux qui ressortaient, projetant les anneaux d'or de mes tétons. Victor y avait accroché deux petites cloches qui tintaient à chacun de mes pas. C'était très pratique pour les Maîtres m'apprit-il. Mes bras étaient retournés dans mon dos, et enfermé dans un sac en latex fixé sur mes épaules. La tension était douloureuse, et surtout l'impression de ne pouvoir rien faire. De face je donnais l'impression d'avoir été amputé.
Le clou, qui fit réagir l'assemblée après m'avoir fait longuement pleurer, étaient les tatouages que j'avais reçus. Si la marque de mes Maîtres étaient discrète et très jolie dans mon cou, j'avais un large tatouage sur le front avec le mot Esclave entouré de fouet et d'épines, marquant clairement ma condition. Et sur chaque joue un numéro écrit en très gros. 1 pour la joue droite et 7 pour la joue gauche. Mon numéro d'esclave et mon nouveau nom : dix-sept. Ma vie était finie. Je ne pensais plus à rien. Je gardais les yeux baissés tandis que la laisse était donnée à la femme du couple qui sans un mot m'emmena dehors. Une berline nous attendait, le coffre m'était destiné. Tout un symbole. Je m'endormis vite balloté par les mouvements souples de la voiture.