Modèle d'Exposition
Datte: 13/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
A 19 ans j'étais encore vierge. J'avais bien flirté avec une de mes cousines plus jeunes, ou sucé un ou deux camarades de classe plus âgés quand nous étions en sortie, mais je restais vierge. Pas par désir, mais par timidité maladive. Pourtant je savais que j'étais plutôt attirant et bien fait, mais j'étais facilement impressionnable. Je ne me sentais pas attiré par un genre particulier. La population n'était pas séparée par des sexes à mes yeux, mais par les dominants d'un côté, les alphas, et les dominés de l'autre. Dont faisait partie l'immense majorité dont moi. Et encore dans mon esprit, moi tout en bas. J'avais beau cherché je n'avais rien pour moi, aucune activité, pensée, culture dont je pouvais parler. Aucun ami non plus. J'étais incroyablement isolé, et je trouvais cela plutôt normal, compte tenu de l'image que j'avais de moi-même. Lorsque je croisais un dominant, un vrai, alors je sentais un coup de poing au fond de mon estomac, un désir profond, une fébrilité incontrôlable, et la réaction stupide alors de fuir, alors que je ne rêvais que de cela.
Quand je disais cela, en fait je ne sais pas trop ce que cela pouvait être en fait, mais pourtant il y avait là une évidence.
Si je commençais à avoir une belle collection de livres de femmes dominantes et de magazines, j'étais un peu frustré par le côté construit de la plupart de ces récits et encore plus des photos. Les dominatrices en faisaient bien trop pour être crédibles, mais sans doute était-ce nécessaire ...
... dans une société aussi marquée par la domination masculine. Je ne rêvais pas de cuissardes ou talons aiguilles, mais d'une présence et d'une autorité extrême, voire d'un certain sadisme et méchanceté pour me mettre à ma place. Je me tournais du coup vers le sm gay, mais lui frustrant d'une autre manière. Les récits étaient assez basiques et frustres. Seuls les dessins d'hommes suppliciés auprès de musculeux sadiques me tordaient les tripes et envahissaient mes pensées. Je pouvais imaginer des scenario sophistiqués et très pervers, là où je trouvais les écrits trop fades.
Je me rendais régulièrement dans un hangar qui faisait office de sex shop gay dans un quartier populaire de la ville. Il était au bout d'une impasse, toujours très calme, avec un étage réservé à des pratiques plus hard qui m'attirait régulièrement. J'étais fasciné par tout le matériel exposé, par les odeurs de cuir ou latex, par les images que je pouvais y voir. J'achetais parfois un objet, toujours déçu de ne susciter aucun intérêt des vendeurs. Ils étaient ouvertement gay et efféminés, ce qui n'était réciproquement pas mon cas. Je n'osais jamais aborder le sujet d'une rencontre avec un mâle alpha.
Un samedi après-midi, je regardais les vêtements en latex, en particulier un boxer couvert de fines pointes à m'intérieur. Ma main posée dessus mesurais bien leur agressivité et la douleur qu'elles devaient infligées. J'étais perdu dans mes pensées à imaginer porter cette culotte de torture, lorsqu'un vendeur ...